Cameroun : Maurice Kamto menacé par une grogne au MRC

Plusieurs cadres du Mouvement pour la renaissance du Cameroun n’ont pas digéré que leur président décide de ne pas participer aux élections législatives et municipales du 9 février dernier. Qui sont ces frondeurs ? 

Le leader du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, Maurice Kamto, à Paris, le 30 janvier 2020. © (FILES) In this file photo taken on January 30, 2020 Cameroonian opposition leader of Movement for the Rebirth of Cameroon (MRC)and former presidential candidate Maurice Kamto poses during a photo session in Paris. – The fight against the COVID-19 coronavirus has revived in Cameroon a war of chiefs that began at the ballot box nearly two years ago between the indivisible Paul Biya and his main opponent Maurice Kamto, who proclaims himself as the « elected president ».
The pandemic has not led to a political truce as in other countries on the continent. (Photo by STEPHANE DE SAKUTIN / AFP)

Le leader du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, Maurice Kamto, à Paris, le 30 janvier 2020. © (FILES) In this file photo taken on January 30, 2020 Cameroonian opposition leader of Movement for the Rebirth of Cameroon (MRC)and former presidential candidate Maurice Kamto poses during a photo session in Paris. – The fight against the COVID-19 coronavirus has revived in Cameroon a war of chiefs that began at the ballot box nearly two years ago between the indivisible Paul Biya and his main opponent Maurice Kamto, who proclaims himself as the « elected president ». The pandemic has not led to a political truce as in other countries on the continent. (Photo by STEPHANE DE SAKUTIN / AFP)

Publié le 24 juin 2020 Lecture : 2 minutes.

Ils ne sont pas encore en rupture, mais leurs voix se sont élevées pour exprimer leur dépit. La vice-présidente du directoire des femmes du Mouvement pour la renaissance (MRC), l’avocate Michelle Ndoki, souhaitait briguer la députation dans sa ville natale de Douala, mais elle a dû renoncer à son ambition. Elle n’a pas encore démissionné, mais elle a pris ses distances avec ses amis politiques. Elle s’est même rapprochée du pouvoir par l’entremise du ministre du Travail, Grégoire Owona, qui est aussi le numéro deux du parti présidentiel, le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC).

Bien s’informer, mieux décider

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