Après l’échec d’une première offre le 1er février, Canal+ présente une contre-proposition pour acquérir le géant sud-africain MultiChoice. L’opération apparaît cette fois mieux embarquée.
Le fondateur et PDG du groupe Voodoo – qui s’apprête à fêter ses 25 années d’existence en Côte d’Ivoire – est le Grand Invité de l’économie RFI-Jeune Afrique.
Propriété du magnat et chef du gouvernement marocain, le magazine français a connu de fortes pertes. Et l’arrivée de Mohamed Lioeddine à la direction ne semble pas avoir permis de redresser la barre.
L’offre publique d’achat du numéro un de la télévision payante en Afrique francophone n’a pas séduit le conseil d’administration du géant sud-africain.
Numéro un du marché francophone de la télévision payante, le groupe contrôlé par le Français Vivendi a lancé une offre pour acquérir le leader en Afrique anglophone, MultiChoice, afin de devenir un acteur mondial de référence.
Le patron de Privinvest avait comparu devant la justice britannique pour un scandale de corruption à 2 milliards de dollars. Il avait nié en bloc toute connaissance des documents versés à ce dossier au nom de son groupe Privinvest.
Incontournable en Afrique de l’Ouest, Canal+ est aussi présent sur le reste du continent, via sa participation majoritaire dans le sud-africain Multichoice. Il s’agit de garder son avance sur la concurrence, de plus en plus vive.
Depuis septembre, la Nigérienne Samira Sabou vit sous la pression du régime militaire de Niamey. Rien de nouveau pour cette journaliste et défenseuse des droits humains, déjà plusieurs fois arrêtée du temps de Mahamadou Issoufou et de Mohamed Bazoum.
En 2018, l’entrée du groupe français sur le marché ivoirien de l’affichage publicitaire avait fait grand bruit. Depuis, il a tracé son sillon dans un secteur toujours aussi concurrentiel et en pleine modernisation.
Comment transformer les créateurs de contenus en créateurs de valeur ? C’est la question qui occupera les participants des Adicomdays, qui se tiennent à Paris le 10 novembre. Rencontre avec Kahi Lumumba, patron de Totem Expérience et fondateur de l’évènement.
Nouvelles acquisitions, expansion ou retrait stratégique : en difficulté sur le continent depuis la crise sanitaire, les spécialistes des études de marché et d’audience multiplient les manœuvres.
La chaîne de télévision s’impose peu à peu comme une référence au sein du paysage audiovisuel abidjanais. Jean-Philippe Kaboré, son patron, s’appuie sur le triptyque information de proximité, économie et développement. Rencontre.
Cacao, immobilier, banques, distribution… Les hommes d’affaires burkinabè diversifient leurs activités dans de nombreux secteurs en Côte d’Ivoire. Qui sont ces pionniers de l’intégration économique régionale ?
Lors d’un entretien avec le chef de l’État ivoirien et le ministre de la Communication et de l’Économie numérique, Amadou Coulibaly, le président de Canal+ International, Jacques Dupuy, a fait part des intentions de son groupe en matière d’investissements, notamment dans le domaine de la production.
Inspiré par A+ Ivoire, le chef de l’État béninois souhaite créer une nouvelle chaîne avec le groupe Vivendi, qui a fait du développement de contenus locaux l’un des piliers de sa stratégie. Explications.
Après plusieurs mois de discussions avec Amadou Coulibaly, le ministre ivoirien de la Communication, les chaînes de la télévision numérique terrestre sont parvenues à un accord concernant la mesure des audiences. Objectif : la conquête des marchés publicitaires.
Le géant américain du streaming semble prendre au sérieux le potentiel du marché local des médias. Mais certains critiquent la faiblesse des investissements au regard du montant des productions dans des pays comme la Corée du Sud ou la Grande-Bretagne.
Alors que la Côte d’Ivoire doit entièrement basculer vers la télévision numérique terrestre d’ici à la fin de l’année, la compétition fait déjà rage entre les chaînes pour capter le plus de téléspectateurs.
Alors que la Côte d’Ivoire s’apprête à passer entièrement à la télévision numérique, Jeune Afrique a rencontré Jean-Philippe Kaboré, patron de la nouvelle chaîne d’information en continu 7info, lancée le 30 septembre.
Initié en 2019, le déploiement de la télévision numérique terrestre n’est pas encore achevé. Mais déjà, les téléspectateurs profitent d’une profusion de programmes inédits. Reste aux nouvelles chaînes à trouver un modèle économique solide pour faire de cette libéralisation du secteur audiovisuel une réussite.
En 2021, la traditionnelle embellie du secteur le temps du mois sacré est bien là. Mais les différences dans les budgets engagés par les différents secteurs sont révélatrices d’une reprise en rangs dispersés.
En lançant un bouquet de chaînes de télévision en langue amharique, la filiale de Vivendi pousse ses concurrents chinois et sud-africain à repenser leur offre pour s’adresser à une cible plus large.
Projeté sur le devant de la scène par sa défense combative d’Isabel dos Santos, le cabinet londonien cultive son réseau de clients dont certains sont particulièrement controversés en Afrique et au Moyen-Orient.
Le groupe de communication Voodoo privilégie le contenu local pour sa nouvelle chaîne de la TNT, dont le français M6 est actionnaire à hauteur de 12,5 %.
Quelques jours après que le géant Tencent a dévoilé sa volonté d’étendre son service de streaming musical Joox au Nigeria, c’est au tour du mastodonte américain Apple de lancer ses services sur les marchés africains.
L’autorité régulatrice de l’audiovisuel a de nouveau lancé, cette semaine, une procédure pour interdire la diffusion des chaînes Nessma TV, Zitouna TV et de la radio Quran réclamée depuis des années. Cette fois, elle a décidé de s’appuyer sur l’instance de lutte contre la corruption pour y arriver.
Les repreneurs potentiels avaient jusqu’au 11 février pour se manifester auprès du holding al-Karama, mais aucune enveloppe n’est parvenue à Adel Grar, son PDG.
Grâce à une offre médiatique alternative et attractive, notamment la chaîne d’information Chinese Global Television Network (CGTN) Africa, la Chine se distingue des autres grandes puissances et réaffirme son ancrage sur le continent.