Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a qualifié de « décisive » la bataille de Rafah, après l’annonce d’une « intensification » des opérations militaires au sol dans cette ville du sud de la bande de Gaza.
Le Hezbollah a annoncé jeudi 16 mai la mort de deux de ses combattants dans des frappes israéliennes sur le sud du Liban, alors que le mouvement libanais a intensifié ses attaques contre des positions militaires israéliennes de l’autre côté de la frontière.
Plus de 600 000 Palestiniens ont déjà quitté la ville du sud de la bande de Gaza, selon l’ONU, alors que Tsahal poursuit ses bombardements, déterminé à en finir avec le Hamas.
Depuis plusieurs jours, Tsahal a accentué ses bombardements sur la ville située à la frontière entre l’Égypte et le territoire palestinien, dans laquelle se sont réfugiées 1,4 million de personnes.
À Niamey, des militaires russes ont commencé à s’installer sur une base aérienne où se trouvent toujours des troupes des États-Unis. Le ministre américain de la Défense et le porte-parole du Kremlin minimisent la portée de cette cohabitation.
Selon les États-Unis, Kigali serait responsable du bombardement d’un camp de réfugiés près de Goma. Une accusation rejetée en bloc par la porte-parole du gouvernement rwandais, Yolande Makolo.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, reste sur ferme sur ses positions, refusant d’« accepter » les demandes du Hamas, qui réclame un cessez-le-feu définitif dans le territoire palestinien assiégé par Tsahal.
L’organisation islamiste penche pour le moment vers un refus de la proposition d’accord négociée par les pays médiateurs avec Tel-Aviv qui, dans le même temps, continue de préparer son offensive sur Rafah, en dépit des protestations internationales.
Convoité pour ses ressources naturelles, le territoire de Masisi, dans l’est de la RDC, a été le théâtre d’affrontements mardi entre le M23 et les forces gouvernementales congolaises.
Une délégation du mouvement palestinien a quitté Le Caire pour Doha afin d’étudier une nouvelle offre de trêve. Celle-ci est considérée comme « extrêmement généreuse » par les États-Unis, alliés de Tel-Aviv.
Le mouvement islamiste doit valider la dernière proposition de trêve en date, élaborée par l’Égypte et amendée par Israël. Jusque-là, Tel Aviv refusait de signer un accord de cessez-le-feu permanent.
Le Hezbollah libanais et Tsahal ont encore échangé des tirs de missile à la frontière israélo-libanaise. Selon des médias israéliens, le cabinet de Benyamin Netanyahou a discuté d’un nouveau projet de trêve associée à une libération d’otages détenus par le Hamas.
Human Rights Watch affirme que les forces armées du Burkina Faso ont « exécuté au moins 223 civils », dont au moins 56 enfants, fin février dans le nord du pays.
Tsahal a visé des infrastructures du Hezbollah et poursuit ses tirs sur Rafah, alors qu’une offensive sur la ville paraît toujours d’actualité, en dépit des mises en garde internationales.
Benjamin Netanyahou s’est engagé dimanche 21 avril à accroître la « pression militaire » sur le Hamas « dans les prochains jours », sans évoquer un assaut sur la ville surpeuplée de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, qu’il s’est dit à maintes reprises déterminé à lancer.
La tension était brusquement montée au Moyen-Orient le 13 avril, lorsque Téhéran a mené une attaque sans précédent contre Tel Aviv, en réponse à une attaque attribuée à Israël le 1er avril. La riposte israélienne survenue le 19 avril a été minimisée par le ministre iranien des Affaires étrangères.
Trois humanitaires camerounais de l’ONG française Première urgence internationale (PUI), enlevés dans le nord du Cameroun, ont été libérés vendredi 19 avril sains et saufs au Nigeria après 100 jours de captivité.
Depuis le début de l’année, des dizaines de civils ont été massacrés par le groupe armé Codeco en Ituri, province troublée et riche en or du nord-est de la RDC.
Le chef des armées du Kenya et neuf autres responsables militaires ont été tués jeudi 18 avril dans le crash d’un hélicoptère dans une région reculée de l’Ouest, a annoncé le président William Ruto.
Des menaces de représailles font monter la tension ce 12 avril au Proche-Orient, suscitant des appels internationaux des alliés d’Israël et de l’Iran, au moment où des progrès en vue d’une trêve dans la bande de Gaza se font attendre.
Le chef de l’organisation islamiste a dit que celle-ci ne fléchirait pas dans les négociations pour une trêve, après qu’une frappe israélienne dans la ville de Gaza a tué trois de ses fils et quatre de ses petits-enfants.
Afin d’assurer « une surveillance permanente » de son territoire contre les groupes jihadistes, la junte d’Ibrahim Traoré a commandé une douzaine de drones de combat à la Turquie.
Les négociations entre le Hamas et Israël se poursuivent via les médiateurs internationaux que sont l’Égypte, les États-Unis et le Qatar. En parallèle, Tsahal s’est retirée de Khan Younès pour préparer son offensive sur ce qu’elle estime être le dernier bastion de l’organisation islamiste.
Le dernier échange entre le Premier ministre israélien et le président des États-Unis remonte au 18 mars. La mort dans une frappe israélienne de sept travailleurs humanitaires de l’ONG World Central Kitchen a encore accru le mécontentement américain.
L’armée israélienne a reconnu le 3 avril une « grave erreur » après la frappe qui a tué sept collaborateurs de l’ONG humanitaire World Central Kitchen dans la bande de Gaza, un drame qui suscite la consternation internationale.
Les Forces démocratiques alliées (ADF) auraient attaqué une localité du Nord-Kivu, mardi 2 avril, « pour se ravitailler en médicaments et nourriture ».
Au moins 23 personnes ont été tuées fin mars au cours de sept jours d’affrontements entre éleveurs nomades et cultivateurs sédentaires dans le sud du Tchad, selon le ministre de la Communication.
La déclaration de la Cour internationale de justice, basée à La Haye, survient alors que Tel Aviv prépare une offensive terrestre d’ampleur sur Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, où sont réfugiés 1,5 million de Palestiniens.
Le ministère nigérien de l’Intérieur a affirmé, le 27 mars, que les États-Unis allaient proposer un « projet » sur les « modalités de désengagement » de leurs soldats du Niger, après la dénonciation par Niamey d’un accord de coopération entre les deux pays.