À Niamey, la junte du général Abdourahamane Tiani a dénoncé « avec effet immédiat » un accord de coopération militaire signé avec les États-Unis en juillet 2012.
Au moins un employé de l’agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) a été tué. Les États-Unis tentent toujours, avec le Qatar et l’Égypte, d’arracher un accord pour une trêve de plusieurs semaines entre Israël et le Hamas.
Les négociations pour une trêve restent bloquées en raison de désaccords persistants entre le Hamas et Israël, notamment concernant le sort des otages et le retrait des troupes israéliennes du territoire palestinien enclavé.
Les États-Unis ont remplacé leur régime de sanctions en place depuis 2003 par des mesures plus ciblées contre l’élite dirigeante. Premiers concernés : le président Emmerson Mnangagwa et son bras droit, Constantino Chiwenga.
La vice-présidente américaine, Kamala Harris, s’est alarmée de la situation dans le territoire palestinien bombardé chaque jour par Israël, et où une famine menace, selon l’ONU.
Tsahal a reconnu des « tirs limités », mais en faisant état d’une « bousculade » au cours de laquelle, selon le Hamas, plus de 110 personnes ont été tuées. La communauté internationale a demandé une enquête indépendante.
Sans présenter de plan précis, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a déclaré qu’il « y [avait] de la place » pour que les civils « aillent au nord de Rafah », alors que près de 1,5 million de personnes sont réfugiées dans la ville, dans le sud de la bande de Gaza.
Alors que les bombardements israéliens sur Gaza continuent, le conseiller du président américain Joe Biden pour le Moyen-Orient est attendu en Israël après une étape en Égypte où se tiennent de nouveaux pourparlers en vue d’une trêve.
Après le rejet d’un projet de résolution de l’ONU appellant à un cessez-le-feu « humanitaire immédiat », les espoirs d’un arrêt des combats entre Israël et le Hamas apparaissent de plus en plus minces.
Le gouvernement de Benyamin Netanyahou menace d’attaquer Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, où sont réfugiés 1,4 million de Palestiniens, alors que les pourparlers pour une nouvelle trêve patinent.
Alors que les négociations avec le Hamas pour une trêve et la libération des otages se poursuivent au Caire, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, reste déterminé à mener son offensive sur le sud du territoire palestinien, où plus d’un million de personnes ont trouvé refuge. Et ce, malgré les pressions internationales.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a déclaré vouloir d’abord faire évacuer la ville située dans le sud de la bande de Gaza. De plus en plus de pays et d’organisations internationales s’inquiètent des conséquences désastreuses d’une telle attaque sur le territoire contrôlé par le Hamas palestinien.
Alors que le secrétaire d’État américain Antony Blinken termine sa tournée au Moyen-Orient dans l’objectif de négocier une nouvelle trêve entre Tel-Aviv et le Hamas, les craintes s’accentuent pour les plus d’un million de Palestiniens coincés dans le sud de Gaza, où Tsahal veut lancer une nouvelle offensive.
Les États-Unis « demandent instamment au gouvernement du Sénégal d’organiser l’élection présidentielle conformément à la Constitution et aux lois électorales ».
Le secrétaire d’État américain se rend d’abord en Arabie saoudite, puis au Qatar, en Égypte, en Israël et en Cisjordanie occupée pour discuter d’une trêve et des « besoins de la population palestinienne ».
Les discussions entre Israël et le Hamas s’accélèrent, aidées par la médiation du Qatar, de l’Égypte et des États-Unis. Ces derniers ont par ailleurs annoncé de rares sanctions contre les colons israéliens extrémistes accusés de violences à l’encontre de Palestiniens en Cisjordanie.
Le secrétaire d’État américain est attendu « dans les prochains jours », alors que le chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh, se rend ce 1er février en Égypte pour discuter d’une proposition de trêve en « trois phases ».
Depuis plusieurs mois, le président centrafricain, Faustin-Archange Touadéra, négocie avec Moscou l’avenir du partenariat entre la RCA et la Russie. Tout en gardant ouvert un étrange dossier, celui de l’implantation d’une société de sécurité américaine, Bancroft, à Bangui. Enquête.
Quelles seraient les conséquences d’un retour au pouvoir de Donald Trump ? Droits humains, sécurité, relations avec la Russie… L’analyse de François Soudan, dans La Semaine de JA, sur RFI.
Alors que le conflit avec le Hamas entame son 114e jour, les États-Unis, l’Égypte et le Qatar s’emploient à négocier un projet d’accord qui impliquerait une trêve de deux mois et la libération de tous les otages, ainsi que celle de prisonniers palestiniens en Israël.
Israël a dit « examiner » les opérations en cours pour déterminer l’origine des tirs contre le bâtiment, qui ont fait, le 24 janvier, au moins « neuf morts et 75 blessés », selon l’agence onusienne en charge des réfugiés palestiniens.
Relations avec les juntes militaires au pouvoir au Sahel, mercenaires russes de Wagner, partenariats économiques entre les États-Unis et le continent… Le secrétaire d’État américain, en tournée sur le continent, a accordé un entretien en vidéo à Jeune Afrique et The Africa Report.
Le secrétaire d’État américain débute ce 22 janvier une tournée d’une semaine en Afrique de l’Ouest afin de maintenir l’influence de Washington face à celles, grandissantes, de Pékin et Moscou.
Au quatrième mois de la guerre, Tsahal aurait tué « environ 20 % à 30 % » des combattants du Hamas, qu’il est déterminé à détruire, d’après le renseignement américain.
Les quatre pays ont été exclus début janvier de l’Agoa, un dispositif qui ouvre le droit à des exemptions douanières pour les exportations à destination des États-Unis. Décryptage en infographies.
Le secrétaire d’État américain poursuit sa tournée au Moyen-Orient et doit s’entretenir avec le président égyptien, Abdel Fattah al-Sissi. Israël, dans le même temps, fait face à des accusations « d’actes génocidaires » devant la Cour internationale de justice.
La crainte d’un embrasement régional du conflit, notamment au Liban, inquiète le secrétaire d’État américain, qui arrivera dans la soirée à Tel Aviv. Il a aussi mis en garde Israël face à la situation extrêmement grave des civils dans la bande de Gaza.
Alors que le conflit a déjà fait près de 22 000 morts dans la bande de Gaza, selon le ministère de la Santé du Hamas, Tsahal « sera sollicité pour des tâches et des combats supplémentaires », a prévenu le porte-parole de l’armée israélienne.