Prix Albert-Londres en 2007, la réalisatrice Anne Poiret consacre un documentaire aux enfants de Daech, ces fils et filles de combattants qui paient le prix fort des horreurs commises par leurs parents. Il sera diffusé le mardi 18 mai à 20h50 sur France 5.
JA poursuit sa mutation avec une version inédite de son mensuel. À l’heure des réseaux sociaux et des « fake news », la rédaction se mobilise plus que jamais pour proposer une information de qualité et pour renforcer son identité.
Fondateur de Jeune Afrique et de La Revue, observateur et éditorialiste engagé, BBY a été un témoin privilégié de tous les soubresauts de l’Afrique et du Moyen-Orient. Il s’est éteint le 3 mai à Paris.
La web-série documentaire, diffusée depuis le 1er janvier sur YouTube et les réseaux sociaux, veut faire entendre autrement les histoires des immigrés de première génération en France.
Décédé le 9 avril dernier, le prince consort était un habitué des remarques racistes, sexistes ou tout simplement déplacées. La presse anglaise évoque pudiquement des « gaffes », mais la liste est longue…
Dans la foulée des cartons 100 % africains « Queen Sono » et « Blood and Water », la plateforme de streaming prévoit de mieux s’implanter dans les pays de langue française sur le continent… et risque de donner un bon coup de fouet à l’industrie cinématographique locale.
Transformation digitale, refonte du magazine, nouvelle offre événementielle… Un an après la crise liée au Covid-19, Jeune Afrique se réinvente, comme le continent qu’il décrypte depuis six décennies.
Avec plus de 80 millions de téléspectateurs, la série produite par l’Africaine-américaine Shonda Rhimes bouleverse le paysage médiatique. Et pourrait bien contribuer à changer la société.
La deuxième saison de MTV Shuga Babi débarque sur Youtube et sur la RTI. Plus qu’un divertissement, la série entend sensibiliser les jeunes à la séropositivité, aux tabous autour de la sexualité et aux violences basées sur le genre.
Le politologue Oswald Padonou s’alarme de la dégradation de la situation des médias dans son pays, qui a reculé de dix-sept places dans le classement 2020 de la liberté de la presse établi par RSF.
À Dakar, la rédaction de RFI en mandenkan (mandingue) et fulfulde (peul) émet, depuis le 14 décembre, deux heures de programmes quotidiens dans ces langues parlées par près de 60 millions de locuteurs en Afrique subsaharienne.
Des lecteurs de Vogue reprochent au magazine de mode américain d’avoir « blanchi », sur sa couverture, le visage de la vice-présidente élue des États-Unis…
Alors que l’application mobile est la cible d’un appel au boycott, à la suite de la mise à jour de sa politique de confidentialité, le réseau mobile tente de rassurer les Africains en réaffirmant la sécurisation de ses services.
Droits d’auteur piétinés, contenus détournés, chaînes piratées… Les consommateurs y trouvent leur compte, mais la création culturelle peut-elle survivre à ce pillage généralisé ?
Décédé dans sa ville de Rome le 20 décembre 2020, il fut, pendant cinquante-deux ans, le directeur artistique de « Jeune Afrique », et l’une des âmes de l’hebdomadaire.
Les professionnels des médias au Mali se sont inquiétés dimanche des menaces que fait peser selon eux sur la liberté de la presse la restauration de l’état d’urgence, annoncée vendredi dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid-19.
Depuis Paris et sous couvert d’anonymat, le caricaturiste tunisien Z raille crûment les politiques et la religion. Quel regard porte-t-il aujourd’hui sur son pays et sur les débats autour de la liberté d’expression ? Entretien.
Dès le 6 décembre, les chaînes de télévision France 2 et TV5 Monde lancent « Oh! AfricArt », une courte émission labellisée Africa 2020 sur la création contemporaine africaine.
Ses traits de crayon capturent l’humeur et l’humour de ses concitoyens tchadiens. Bédéiste et illustrateur de presse, Mahamat Djamadjibeye est le dessinateur préféré des N’Djaménois.
Décédé ce 28 novembre à 83 ans des suites du Covid-19, le patron de presse a largement contribué à la modernisation du paysage médiatique au Maroc à la fin des années 1990.
L’erreur technique, qui a conduit Radio France Internationale à publier par erreur une centaine de nécrologies, révèle au grand public une pratique journalistique bien rodée.
Il y a soixante ans, alors que la majeure partie des pays d’Afrique accédaient à l’indépendance, Béchir Ben Yahmed créait à Tunis un hebdomadaire dont l’ambition était de porter la voix de tout un continent : « Afrique Action », qui devait très vite devenir « Jeune Afrique ».
La série « Wara » vient de débarquer dans le catalogue de TV5 Monde Afrique. Un thriller socio-politique sur fond de révolte étudiante, de grogne sociale et de lutte féministe servi par des auteurs et un casting panafricain.
La représentation de la députée Danièle Obono en esclave par le magazine témoigne d’une volonté de soumettre les minorités. La condamnation unanime du journal est appréciable mais tardive.
Sous la pression d’associations religieuses, le Conseil sénégalais de régulation de l’audiovisuel a recadré, début août, la série « Infidèles ». Plusieurs voix se sont élevées pour dénoncer un acte de censure.
Pendant la guerre d’Algérie, l’un et l’autre camp ont utilisé la photographie pour prendre le monde à témoin. Deux historiennes montrent comment dans la revue « Continents manuscrits ».
Condamné à trois ans de prison ferme, le journaliste et représentant de RSF en Algérie est en train de devenir une icône de la lutte pour la liberté de la presse et les droits de l’Homme.