La date des funérailles de l’ancien président ivoirien Henri Konan Bédié, très attendues, a finalement été dévoilée le 11 mars, à l’issue d’un premier entretien entre Alassane Ouattara et Tidjane Thiam en tant que nouveau patron du PDCI.
D’anciens cadres ralliés au RHDP, des personnes décédées… La nouvelle équipe de la première formation d’opposition, présentée mardi 5 mars par son nouveau président, comporte plusieurs anomalies. Une erreur d’actualisation, explique le parti.
Le nouveau président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) a procédé à une série de nominations. Sylvestre Emmou, qui fut son directeur de campagne, devient secrétaire exécutif en chef de la formation d’opposition.
Brièvement interrompues pendant la CAN, les démolitions de quartiers, considérés pour certains comme insalubres, ont repris à Yopougon. Au grand dam des habitants et du maire de la commune, Adama Bictogo, qui n’hésite pas à prendre le contrepied de Cissé Bacongo, le gouverneur du district.
Alors que le PDCI prépare les obsèques d’Henri Konan Bédié, Tidjane Thiam, le nouveau patron du parti, a annoncé la levée des sanctions qui pesaient sur les candidats indépendants aux dernières élections locales.
Officiellement intronisé président du parti, le successeur d’Henri Konan Bédié va devoir s’atteler à réorganiser sa formation politique, où fourmillent les ambitieux et cohabitent difficilement les générations.
L’ex-banquier, absent de Côte d’Ivoire pendant plus de vingt ans, a réussi à prendre facilement la tête du premier parti d’opposition à Alassane Ouattara en décembre. Le voici désormais dans la peau d’un sérieux candidat à la présidentielle de 2025.
Le nouveau président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) a démissionné de son mandat d’administrateur de Kering, a annoncé mardi 9 janvier le groupe de luxe français.
La question de la candidature du chef de l’État, 82 ans, à la présidentielle de 2025 est déjà sur toutes les lèvres. À Abidjan, le grand jeu des pronostics politiques est ouvert.
Financement du parti, remobilisation des cadres et des militants, programme pour la présidentielle de 2025, organisation des obsèques de Bédié… Pour le nouveau patron du premier parti d’opposition, les défis sont nombreux.
L’ex-banquier franco-ivoirien a franchi le pas et s’est officiellement lancé en politique. Le 22 décembre, il a été élu président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), fondé par son grand-oncle Félix Houphouët-Boigny. Jusqu’où ira-t-il ?
L’ex-banquier succède à Henri Konan Bédié à la tête du Parti démocratique de Côte d’Ivoire. Il a été élu lors d’un congrès extraordinaire, le 22 décembre, à Yamoussoukro.
En Côte d’Ivoire, la succession d’Henri Konan Bédié suscite de nombreux désaccords au sein du premier parti d’opposition. Kouamé Kouassi Patrice a tenté une médiation, mais celle-ci ne s’est pas déroulée comme prévu. Coulisses.
Deux militants du Parti démocratique de Côte d’Ivoire demandaient la suspension du congrès devant désigner son nouveau président, prévu ce 16 décembre à Abidjan.
Ce samedi, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire tient à Abidjan son huitième congrès extraordinaire qui devrait propulser vers la présidentielle le successeur de l’ancien chef d’État.
Plusieurs candidats se sont retirés de la course à la présidence du parti démocratique de Côte d’Ivoire, avec en toile de fond la présidentielle de 2025.
Après les locales du 2 septembre, l’ancien parti unique est en net recul à travers la Côte d’Ivoire par rapport aux scrutins de 2018. Mais ses maires abidjanais, eux, ont réussi à conserver leurs sièges malgré l’hégémonie du RHDP.
L’action de la société spécialisée dans le solaire a perdu près de 90 % de sa valeur à la Bourse de New York. Une douche froide pour ses promoteurs, qui demeurent néanmoins confiants et tablent sur les bénéfices de long terme.
L’ex-banquier franco-ivoirien au parcours prestigieux, qui vit à l’étranger depuis une vingtaine d’années, brigue la présidence du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) avec, dans son viseur, la présidentielle de 2025.
Noël Akossi Bendjo, Maurice Kakou Guikahué, Tidjane Thiam, Jean-Marc Yacé… Plusieurs candidats brigueront la présidence du Parti démocratique de Côte d’Ivoire lors du congrès électif qui se tiendra le 16 décembre à Abidjan.
Tidjane Thiam a proposé au nouveau pouvoir de l’aider à se financer à l’international. Mais son projet se heurte à celui du banquier gabonais, adepte d’un financement issu d’acteurs nationaux, voire sous-régionaux. Explications.
Arrivé à Libreville le 1er octobre, le financier franco-ivoirien a été reçu par le président de la transition, avant de s’entretenir avec une demi-douzaine de membres du gouvernement.
Après la mort de l’ancien président ivoirien, qui a dirigé le PDCI d’une main de fer pendant près de trente ans, l’heure est à l’union. La bataille pour la succession sera pourtant inévitable.
Selon Tidjane Thiam, Rémy Rioux, et Makhtar Diop, le développement économique de l’Afrique devrait être grandement stimulé par des investissements massifs dans l’industrie du sport, écosystème porteur de nombreuses opportunités, sur un continent qui ne veut plus se contenter de la charité internationale.
Visé par une action collective aux États-Unis, l’ancien dirigeant de Credit Suisse attend la cotation de Complete Solaria, la société née de sa Spac lancée en 2021, dans les tous prochains jours.
Cette conférence sur l’aide au développement visant à sceller un nouveau pacte financier mondial en faveur des pays vulnérables doit se tenir dans la capitale française, du 22 au 23 juin. Depuis plusieurs semaines, différentes personnalités travaillent à sa préparation.
L’homme d’affaires est, déjà, candidat déclaré à la présidentielle de 2025. Ce qui en agace plus d’un au PDCI, dont un congrès extraordinaire s’ouvre ce jeudi à Abidjan.
Croissance, industrialisation, inflation, monopole de Bolloré, Henri Konan Bédié, retour des soldats ivoiriens du Mali, Cedeao… Le patron de Sifca, ancien ministre du Commerce devenu opposant à Alassane Ouattara, cultive son image de présidentiable pour l’élection de 2025.