Homme politique ivoirien né en 1953 à Bouadikro. Ancien proche de Laurent Gbagbo, il est engagé dans le Front Populaire Ivoirien (FPI) depuis 1986. Il a été premier ministre sous Gbagbo de 2000 à 2003.
Le secrétaire exécutif du PDCI et le patron du FPI faisaient l’objet d’enquêtes pour « complot contre l’autorité de l’État », « mouvement insurrectionnel », « assassinat » et « actes de terrorisme » lors de la présidentielle de 2020.
Nommé haut-représentant du chef de l’État ivoirien, le président du directoire du RHDP revient sur la large victoire de son camp aux élections locales puis sénatoriales, sur la mise à l’écart de Patrick Achi et sur les prochaines échéances électorales.
Le 22 octobre 2000, Robert Gueï, qui a destitué Henri Konan Bédié quelques mois plus tôt, affronte le chef du FPI lors d’un scrutin d’où sont exclus le président déchu et Alassane Ouattara. Voici le récit qu’en faisait Albert Bourgi, dans JA.
Le parti au pouvoir est sorti largement vainqueur des élections régionales et municipales. Une page politique se tourne et les regards se braquent déjà sur la présidentielle de 2025.
À l’occasion des élections municipales et régionales du 2 septembre, le RHDP confirmera-t-il sa domination ? Le PDCI, endeuillé, résistera-t-il ? Quel score obtiendra le PPA-CI de Laurent Gbagbo ? Tour d’horizon des points chauds et des personnalités qui jouent gros dans ces scrutins.
Les deux partis ont conclu un accord en vue des élections locales du 2 septembre. Depuis, plusieurs candidats du FPI se sont désistés en faveur de celui désigné par la majorité présidentielle.
À deux ans de la présidentielle, les scrutins régionaux et municipaux du 2 septembre promettent de beaux duels. Des affiches qui ne doivent pas faire oublier l’essentiel : la participation des citoyens au jeu démocratique.
Derniers scrutins avant la course à la magistrature suprême de 2025, les élections régionales et municipales du 2 septembre prochain représentent un test majeur pour les partis politiques. Et pour tous les Ivoiriens.
Le parti d’Alassane Ouattara et celui de Pascal Affi N’Guessan ont formalisé le 2 mai leur entente, laquelle ne constitue pour autant un « accord électoral » en vue des élections locales, prévues le 2 septembre.
L’ancienne première dame célébrait ce 30 avril la première « fête des libertés » de son nouveau parti, le Mouvement des générations capables (MGC). Un premier grand rassemblement qui a aussi permis de jauger sa nouvelle force de mobilisation sur la scène politique ivoirienne.
C’est avec des ressources restreintes que le FPI alignera des candidats sur l’ensemble du territoire aux élections locales du 2 septembre. Un accord de partenariat avec le RHDP doit être signé ce mardi.
Le parti de l’ancien président a dévoilé les noms de ses candidats pour les élections locales du 2 septembre. Fondé en 2021, au retour de Laurent Gbagbo à Abidjan, le PPA-CI concentre ses efforts dans la moitié sud du pays.
Le ministre de la Réconciliation nationale a présenté ses vœux du nouvel an à l’ancien président dans sa résidence de Daoukro le 18 février, marquant une nouvelle étape dans leur relation aussi complexe que tumultueuse.
À quelques mois des élections locales, l’alliance du FPI avec le RHDP au nom de la réconciliation nationale fait débat. L’ancien Premier ministre, lui, se défend d’avoir retourné sa veste.
L’opposant ivoirien Pascal Affi N’Guessan a annoncé le 28 janvier vouloir former une alliance avec le parti au pouvoir, le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP), en vue des prochaines élections, lors d’une cérémonie de vœux de son parti, le Front Populaire ivoirien (FPI).
Des législatives, des municipales, un référendum et, surtout, sept présidentielles… Que leur déroulement soit serein ou houleux, que leur issue soit prévisible ou surprenante, ces scrutins seront scrutés à la loupe.
L’ex-première dame a rendu visite au leader du Front populaire ivoirien ce 15 décembre. Un nouveau signe de rapprochement entre les deux poids lourds de la gauche ivoirienne qui n’excluent pas une alliance lors des élections locales prévues en 2023.
À un an des élections locales, les différents partis réévaluent leurs alliances. A priori opposés, le FPI et le RHDP envisagent désormais de marcher côte à côte.
En vertu de la loi sur le financement des partis politiques, le Front populaire ivoirien a perçu sa subvention annuelle. Elle est plus généreuse que celle accordée au nouveau parti de Laurent Gbagbo…
Désormais seul aux commandes du FPI, que l’ancien président a fini par lui abandonner, Pascal Affi N’Guessan est convaincu qu’il a une carte à jouer et se rêve déjà en candidat à la présidentielle de 2025.
Alors que Laurent Gbagbo a annoncé sa décision de quitter le FPI pour créer un nouveau parti, Pascal Affi N’Guessan paraît plus isolé que jamais. L’ancien Premier ministre assure au contraire que cette rupture est l’occasion d’un nouveau souffle.
Le secrétaire général du Front populaire ivoirien revient sur la décision de Laurent Gbagbo de céder le parti à Pascal Affi N’Guessan et sur les projets de sa famille politique.
Rentré d’exil en avril 2021, Damana Pickass est un proche de Laurent Gbagbo. Pour lui, c’est une certitude : l’ancien président continuera de jouer un rôle politique.
Acquitté par la CPI, l’ex-chef de l’État prépare son retour au pays, sous le regard vigilant d’Alassane Ouattara… Dans quel état d’esprit est-il, où logera-t-il et, surtout, quel rôle jouera-t-il ? Les questions sont nombreuses.
Assoa Adou, le secrétaire général de la branche pro-Gbagbo du FPI, a rendu visite à Pascal Affi N’Guessan le 4 janvier. Un signe de rapprochement entre l’ancien président et celui qu’il a longtemps considéré comme un traître, qui pourrait se concrétiser dans les urnes à l’occasion des législatives.
La justice a prononcé la remise en liberté provisoire de l’opposant ivoirien, qui avait été arrêté le 7 novembre dernier. Le président du Front populaire ivoirien (FPI) reste cependant toujours poursuivi pour « atteinte à l’autorité de l’État ».
Peu d’informations ont filtré sur le quotidien en détention des opposants Pascal Affi N’Guessan et Maurice Kakou Guikahué, arrêtés début novembre. Jeune Afrique vous en dévoile les détails.
Le président du Front populaire ivoirien (FPI) a été interpellé le 6 novembre. Voici, en exclusivité, comment les autorités ont mis fin à la cavale de l’opposant.