L’ancien Premier ministre ivoirien, en exil depuis 2019, a affirmé le 8 mai 2023 sur sa chaîne YouTube qu’il n’y avait aucune « raison » pour qu’il ne puisse briguer la magistrature suprême en 2025. Absent de Côte d’Ivoire depuis quatre ans, l’ex-président de l’Assemblée nationale a pressé les cadres de son parti, Générations et peuples solidaires (GPS), de « travailler sur le terrain pour asseoir » leur « organisation », qui est « capable de relever le défi présidentiel ». En avril 2020, condamné à vingt ans de prison pour recel de détournement de deniers publics, il avait vu sa candidature à la présidentielle invalidée. Accusé d’avoir fomenté une « insurrection civile et militaire » visant à renverser le régime d’Alassane Ouattara en 2019, celui qui avait refusé de rejoindre le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, le parti présidentiel) avait ensuite été condamné par contumace, en juin 2021, à la prison à perpétuité pour « atteinte à la sûreté de l’État ».
Ancienne figure de la rébellion des Forces nouvelles (FN), l’ex-comzone a été nommé chef d’état-major de l’armée de terre par le président Alassane Ouattara.
Le communiqué du Conseil national de sécurité a été lu, ce jeudi 22 février, par Fidèle Sarassoro, le directeur de cabinet du chef de l’État. Parmi les personnes concernées figurent également d’anciens proches de Guillaume Soro.
La question de la candidature du chef de l’État, 82 ans, à la présidentielle de 2025 est déjà sur toutes les lèvres. À Abidjan, le grand jeu des pronostics politiques est ouvert.
Charles Blé Goudé demande à Guillaume Soro de se rapprocher d’Alassane Ouattara, « son papa ». Comme lui affirme vouloir le faire avec le sien, Laurent Gbagbo.
Artiste engagé, le chanteur Kajeem vient de célébrer ses trente ans de carrière. S’il assure ne pas avoir changé, il s’amuse de la difficulté avec laquelle les politiques acceptent la critique.
Après quatre ans d’exil hors du continent, l’ex-Premier ministre ivoirien a fait une tournée remarquée chez les putschistes sahéliens, dont les relations avec Alassane Ouattara sont notoirement tendues.
Le maire sortant, l’indépendant Ouattara Kaweli, a finalement remporté les municipales – scrutin une première fois annulé en septembre –, selon des résultats rendus publics par la CEI le 5 décembre.
Après leur annulation, le 2 septembre, pour cause d’irrégularités, quelques élections municipales – et une régionale – ont été rejouées, ce 2 décembre. Parmi elles, celle du fief de Guillaume Soro, où l’un des proches de l’ex-président de l’Assemblée nationale, le maire sortant Kaweli Ouattara, revendique la victoire.
Guillaume Soro a annoncé mi-novembre la fin de son exil sans donner de précisions sur la date d’un éventuel retour en Côte d’Ivoire, où il risque la prison. Retour en vidéo sur les années d’exil de l’ex-opposant numéro un du régime ivoirien.
Le porte-parole du gouvernement ivoirien a affirmé, ce 23 novembre, que le pays était « ouvert » pour l’ancien président de l’Assemblée nationale, précisant que l’administration judiciaire décidera de l’application des peines auxquelles il a été condamné.
Réapparu à Niamey il y a une semaine, l’ancien président de l’Assemblée nationale ivoirienne s’est rendu le 21 novembre à Ouagadougou, où il a été reçu par le capitaine Ibrahim Traoré.
Deux cadres de Générations et peuples solidaires (GPS) ont été arrêtés le 18 novembre à Odienné, dans le nord-ouest du pays, cinq jours après la réapparition de leur mentor au Niger.
L’ancien président de l’Assemblée nationale ivoirienne, recherché par la justice de son pays depuis 2019, s’est affiché aux côtés des autorités nigériennes après avoir annoncé mettre un terme à son exil. Le début d’une tournée qui doit le conduire dans plusieurs pays africains.
L’ancien Premier ministre ivoirien vient d’annoncer, par vidéo, qu’il mettait fin « maintenant » à son exil… Mais c’est à Niamey, et non à Abidjan, qu’il vient de poser ses valises.
L’ancien Premier ministre ivoirien, qui a annoncé dimanche vouloir mettre fin à son « exil » entamé en 2019, a déclaré lundi 13 novembre se trouver à Niamey, où il a rencontré le général Abdourahamane Tiani.
L’ancien Premier ministre ivoirien, condamné à la prison à perpétuité en Côte d’Ivoire pour « atteinte à la sûreté de l’État », a déclaré dimanche 12 novembre au soir qu’il mettait « fin » à son exil, entamé en 2019.
La Côte d’Ivoire a-t-elle voulu arrêter Guillaume Soro, le 3 novembre, lors d’une escale de l’intéressé en Turquie ? Les autorités ivoiriennes assurent que tout est faux, tandis que les proches de l’ex-président de l’Assemblée nationale reviennent en partie sur leur version initiale. Explications.
À l’occasion des élections municipales et régionales du 2 septembre, le RHDP confirmera-t-il sa domination ? Le PDCI, endeuillé, résistera-t-il ? Quel score obtiendra le PPA-CI de Laurent Gbagbo ? Tour d’horizon des points chauds et des personnalités qui jouent gros dans ces scrutins.
La justice française enquête sur les conditions du décès d’« IB », un ex-chef rebelle ivoirien tué en 2011 à Abidjan. L’ancien Premier ministre de Laurent Gbagbo et d’Alassane Ouattara fait l’objet d’une plainte pour torture et assassinat.
Une enquête a été ouverte à Paris à la suite de la plainte de la fille d’Ibrahim Coulibaly, décédé en 2011. Sa famille suspecte Guillaume Soro d’être responsable de la mort de l’ancien chef rebelle ivoirien.
Un juge d’instruction parisien a été désigné pour enquêter sur l’assassinat, le 27 avril 2011, d’Ibrahim Coulibaly, un ex-chef rebelle ivoirien, dans lequel seraient impliqués l’ex-Premier ministre Guillaume Soro et son entourage.
À quelques mois des élections municipales et régionales, les partis politiques – celui de Laurent Gbagbo en tête – remettent en question la fiabilité du fichier électoral et l’impartialité de la CEI.
Accusé de « non-respect du devoir de réserve » pour ses critiques à l’égard de « la politique africaine de la France », le professeur de philosophie dénonce une « persécution politique ». Le ministre français de l’Éducation nationale, lui, évoque des « propos d’une très grande violence ».
L’ancien Premier ministre, en exil depuis 2019, a affirmé ce 8 mai sur sa chaîne YouTube qu’il n’y avait aucune « raison » pour qu’il ne puisse briguer la magistrature suprême en 2025.
L’ancienne première dame célébrait ce 30 avril la première « fête des libertés » de son nouveau parti, le Mouvement des générations capables (MGC). Un premier grand rassemblement qui a aussi permis de jauger sa nouvelle force de mobilisation sur la scène politique ivoirienne.
Depuis plus de deux ans, la localisation et les mouvements de l’ancien président de l’Assemblée nationale sont l’objet de toutes les attentions au sein des services de renseignement ivoiriens. Mais Soro demeure introuvable.
Plus les mois passent, plus l’étau se resserre autour de Guillaume Soro, lequel bénéficie néanmoins du soutien des autorités maliennes. Et cherche, selon les informations de JA, à obtenir celui de la Russie.
Condamné à la perpétuité, visé par un mandat d’arrêt, l’ancien président de l’Assemblée nationale continue d’échapper à la justice de son pays. En contact avec un dernier carré de fidèles, il multiplie les points de chute. De Paris à Chypre en passant par Genève, Bamako et Dubaï, récit exclusif d’une folle cavale.
Ce 11 avril 2011, le chef de l’État ivoirien est arrêté dans la résidence présidentielle, à Abidjan. Ses dernières heures au pouvoir avaient été racontées dans JA, à l’époque, par Christophe Boisbouvier.
Le ministre des Transports est une figure montante du camp présidentiel en Côte d’Ivoire. Cousin de feu Amadou Gon Coulibaly, ancien directeur de cabinet de Guillaume Soro sous la rébellion, ce quinquagénaire brigue cette année la mairie de sa ville natale, Bouaké.