Le puissant syndicat étudiant vient d’élire son nouveau secrétaire général, qui promet de pacifier un mouvement à l’histoire tumultueuse et aux pratiques décriées.
Charles Blé Goudé demande à Guillaume Soro de se rapprocher d’Alassane Ouattara, « son papa ». Comme lui affirme vouloir le faire avec le sien, Laurent Gbagbo.
Après quatre ans d’exil hors du continent, l’ex-Premier ministre ivoirien a fait une tournée remarquée chez les putschistes sahéliens, dont les relations avec Alassane Ouattara sont notoirement tendues.
L’élection présidentielle de 2025 en Côte d’Ivoire « ne s’écrira pas sans moi », a affirmé samedi Charles Blé Goudé, président du Congrès panafricain pour la justice et l’égalité des peuples (Cojep).
Selon les informations de JA, l’avocat belgo-ivoirien vient renforcer l’équipe des conseils du patron du contre-espionnage camerounais, inculpé dans l’affaire de l’assassinat du journaliste Martinez Zogo.
Accusé par la justice internationale d’avoir commis des crimes contre l’humanité lors de la crise postélectorale de 2010-2011 en Côte d’Ivoire, l’ancien ministre de la Jeunesse de Laurent Gbagbo a passé six années en détention.
Le ministre ivoirien de la Promotion de la jeunesse, porte-parole adjoint du parti présidentiel et du gouvernement, explique comment se concrétise le « plan Marshall » pour la jeunesse annoncé par Alassane Ouattara. Et décrypte les enjeux des scrutins locaux du 2 septembre prochain.
Avec des têtes d’affiche comme le rappeur Booba – qui se produisent à Abidjan devant un public de plus de 30 000 personnes –, des animations sociales et sportives simultanées, les Magic System, emmenés par A’Salfo, assurent année après année la pérennité du Festival des musiques urbaines d’Anoumabo, devenu un rendez-vous incontournable.
Le Congrès panafricain pour la justice et l’égalité des peuples (Cojep) ne prendra pas part aux élections locales de septembre. Une décision prise par volonté de « rester prioritairement concentré sur les actions de paix. »
De retour en Côte d’Ivoire après son acquittement par la CPI, l’ancien leader des Jeunes Patriotes continue à jouer la carte de la loyauté à l’égard de son ancien mentor… Tout en affichant ses ambitions. Interview.
En Côte d’Ivoire, de vives tensions sont apparues ces dernières semaines entre le parti de l’ancien président et les autorités. Une crispation inédite, dans un climat politique fragile et à quelques mois d’élections locales très attendues.
Le Parti des peuples africains – Côte d’Ivoire (PPA-CI) de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo a dénoncé le 10 mars une « décision de justice arbitraire » après la condamnation, la veille, de 26 de ses militants, à deux ans de prison pour « trouble à l’ordre public ».
À quelques mois des élections locales, l’alliance du FPI avec le RHDP au nom de la réconciliation nationale fait débat. L’ancien Premier ministre, lui, se défend d’avoir retourné sa veste.
Incarcérée durant plus de cinq mois, la présidente de l’organisation Alternative citoyenne ivoirienne a notamment interdiction de s’exprimer publiquement.
Lors de la dernière présidentielle, les leaders de l’opposition étaient vent debout contre la candidature d’Alassane Ouattara à un troisième mandat. Depuis, nombre de ses cadres se sont rangés derrière le chef de l’État, faisant de son parti, le RHDP, le grand favori des prochaines élections locales.
Les élections régionales et municipales se tiendront à la fin de l’année en Côte d’Ivoire. Un test grandeur nature pour les principaux partis politiques et leurs leaders, qui ont déjà tous la prochaine présidentielle en tête.
Ambitions politiques, affaires judiciaires, relations avec Laurent Gbagbo… Pour la première fois depuis son retour en Côte d’Ivoire, il y a un peu plus d’un mois, l’ancien ministre s’est longuement exprimé devant la presse.
Compagnons politiques et de détention, les deux hommes ont tout pour être liés. Mais depuis leur libération et leurs retours respectifs en Côte d’Ivoire, ils semblent plus éloignés que jamais.
L’ex-première dame a rendu visite au leader du Front populaire ivoirien ce 15 décembre. Un nouveau signe de rapprochement entre les deux poids lourds de la gauche ivoirienne qui n’excluent pas une alliance lors des élections locales prévues en 2023.
Huit ans après avoir été transféré à la Cour pénale internationale, l’ancien « général de la rue » a reçu un accueil triomphal de ses partisans ce samedi 26 novembre.
Huit ans après avoir été transféré à la CPI, l’ancien leader des Jeunes Patriotes retrouve son sol natal ce samedi. Ce quinquagénaire ambitieux prône désormais des relations apaisées avec le pouvoir et s’est rapproché de Simone Gbagbo.
Son comité d’accueil a annoncé que l’ancien ministre de Laurent Gbagbo rentrerait « sobrement » à Abidjan et a demandé à ses partisans de ne pas se rendre à l’aéroport. Acquitté en 2021 par la CPI, il n’était pas revenu en Côte d’Ivoire depuis son transfert à La Haye, il y a huit ans.
L’ancien ministre de Laurent Gbagbo, accusé de crimes contre l’humanité, a été acquitté il y a un an et demi par la Cour pénale internationale. Après de longues négociations avec Alassane Ouattara, il a décidé de revenir à Abidjan le 26 novembre.
Un an et demi après son acquittement définitif de crimes contre l’humanité par la Cour pénale internationale (CPI), l’ancien ministre a obtenu l’accord écrit du chef de l’État pour revenir en Côte d’Ivoire.
Au sein du PPA-CI, le « cas Blé Goudé » fait des vagues. La décision de l’ancien co-accusé de Laurent Gbagbo de ne pas rallier le parti de son « mentor » est source de tensions. Elle interroge aussi sur la place donnée à ceux qui, à gauche, ne se rangent pas derrière l’ancien président.
Toujours aux Pays-Bas, Charles Blé Goudé promet à ses partisans de rentrer « très bientôt » à Abidjan. En attendant une date de retour toujours en négociation avec le gouvernement ivoirien, l’ancien « général de la rue », aujourd’hui considéré comme « un adversaire politique » par Laurent Gbagbo, soigne sa communication et son image.
L’ancien leader des Jeunes patriotes, proche de Laurent Gbagbo, s’est vu délivrer son passeport dans les locaux de l’ambassade de Côte d’Ivoire aux Pays-Bas, le 30 mai. Plusieurs conditions lui ont été posées.
Premier test grandeur nature pour la formation de l’ancien président. Six mois après sa création, le PPA-CI tente de convaincre en sillonnant le pays. En ligne de mire : les locales de 2023.