Aziz Akhannouch est un homme politique et homme d’affaires marocain, né le 16 août 1961 à Tafraout. Il est le chef du gouvernement depuis le 7 octobre 2021.
Diplômé en génie informatique avant de se lancer dans le monde des affaires, il préside le Rassemblement national des indépendants (RNI), un parti politique marocain de centre droit. Sa carrière politique a été marquée par sa participation à plusieurs gouvernements marocains.
Il a occupé le poste de ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts depuis 2007, faisant de lui l’un des membres clés du gouvernement. En tant que ministre, il a joué un rôle crucial dans le développement de l’agriculture et de la pêche, des secteurs stratégiques pour le pays.
Aziz Akhannouch est également une personnalité importante dans le secteur économique. Il est à la tête du groupe Akwa, un conglomérat d’entreprises actif dans l’énergie, la distribution, la pétrochimie et l’agriculture.
Entre le Maroc et la France, les signes de rapprochement se multiplient. Mais pour que le processus avance, une clarification française sur la question du Sahara reste indispensable.
Propriété du magnat et chef du gouvernement marocain, le magazine français a connu de fortes pertes. Et l’arrivée de Mohamed Lioeddine à la direction ne semble pas avoir permis de redresser la barre.
Rien ne va plus entre la maire de Rabat et les conseillers communaux – y compris ceux de son propre parti, le RNI –, qui appellent désormais à sa démission. Le 20 février, le dépôt d’une demande de convocation d’une session extraordinaire du Conseil de la ville a donné lieu à une nouvelle échauffourée devant le bureau de la première édile.
De l’entretien avec son homologue, Aziz Akhannouch, à l’audience royale accordée par Mohammed VI, les détails de la visite officielle du président du gouvernement espagnol à Rabat en compagnie de son ministre des Affaires étrangères, José Manuel Albares.
Le bureau politique du parti vient d’annoncer la création d’une commission pour l’instauration d’un code déontologique. Une initiative qui va dans le sens du message royal du 17 janvier appelant à « moraliser la vie parlementaire », et qui intervient alors que plusieurs anciens membres du parti sont accusés de corruption à grande échelle.
Situation des PME, représentativité de la CGEM, nouveau modèle de développement, politique des grands chantiers… L’économiste et homme d’affaires marocain répond sans langue de bois aux questions de Jeune Afrique.
Après le chef du gouvernement marocain Aziz Akhannouch, certaines sources indiquent que le Nigérien pourrait être reçu par le roi. Un signe clair du désir de dialogue entre Rabat et Niamey, et plus largement avec les juntes au pouvoir Sahel.
Au Maroc, le parti d’Abdelilah Benkirane profite du scandale pour régler de vieux comptes avec son rival centriste et se poser en grand défenseur de la lutte contre la corruption. Le groupe parlementaire islamiste vient de déposer une proposition de loi plus sévère sur le sujet.
Écroué en décembre pour trafic de drogue, le député PAM Abdenbi Bioui est aussi un homme d’affaires prospère qui brasse des centaines de millions de dirhams grâce à des marchés publics.
Premier parti d’opposition – avec seulement 34 sièges sur 395 –, l’Union socialiste des forces populaires table sur une improbable démission forcée du gouvernement. Mais de quels leviers disposent les socialistes face à l’écrasante majorité d’Aziz Akhannouch ?
Depuis son arrivée au pouvoir en octobre 2022, la dirigeante de l’extrême droite italienne prône un « changement de paradigme » dans les relations entre l’UE et l’Afrique. C’est le sens du « plan Mattei » qu’elle présente depuis hier aux dirigeants du continent.
Après le rappel à l’ordre lancé par Mohammed VI face à la multiplication des affaires de corruption impliquant des parlementaires, la Chambre des représentants planche sur l’élaboration d’un code de déontologie qui devrait être rapidement adopté.
La filiale marocaine du géant tricolore a traversé une année difficile, avec des résultats nettement en baisse à cause d’une lourde amende infligée par le régulateur du royaume.
Coordination de leur action, dénonciation de l’inertie du gouvernement Akhannouch, révocation de deux de leurs députés, affaire du « Pablo Escobar du Sahara »… Les états-majors des deux partis de gauche ont fait bloc lors d’une réunion organisée ce mercredi 10 janvier à Rabat.
Une aide directe mensuelle sera désormais versée aux familles marocaines défavorisées. Le budget pour ce programme, qui comprend également la généralisation de la couverture sociale, est estimé à près de 2,3 milliards d’euros.
Après avoir enregistré un nombre record d’arrivées de touristes en 2023, le royaume déploie les grands moyens pour faire venir 26 millions de visiteurs à l’horizon 2030.
Il aura fallu que Mohammed VI fixe un délai pour que le gouvernement Akhannouch se penche sérieusement sur la réforme de la Moudawana, annoncée depuis son entrée en fonction.
Haut commis de l’État marocain depuis quarante-cinq ans, le gouverneur de Bank Al-Maghrib a eu à gérer les pires crises financières et économiques que le pays ait connues dans son histoire récente.
En froid depuis plus de dix ans, l’Union socialiste des forces populaires (USFP) et le Parti du progrès et du socialisme (PPS) ont trouvé un terrain d’entente. Sauront-ils entretenir la flamme jusqu’aux élections en 2026 ?
Le 27 novembre, le gouvernement Akhannouch et quatre centrales syndicales se sont entendus pour geler la réforme contestée du statut unifié des fonctionnaires. Une décision qui n’a pas suffi à satisfaire les coordinations sectorielles de l’enseignement.
À la COP28, qui se tient à Dubaï du 30 novembre au 12 décembre, la ministre marocaine du Développement durable porte la vision du roi en matière d’environnement et de stratégie énergétique. Portrait.
L’Afrique sera très largement représentée lors de la Conférence des parties sur le climat de l’ONU, qui se tiendra du 30 novembre au 12 décembre aux Émirats arabes unis. JA dévoile l’agenda des présidents.
Deux ans et demi après sa nomination à la tête du Conseil de la concurrence, Ahmed Rahhou est parvenu au règlement du dossier très sensible de l’entente sur les prix des carburants. Une transaction assortie de plusieurs garde-fous, destinés à contrôler le comportement des entreprises du secteur.
Quand certains établissements et entreprises publics marocains enchaînent les années bénéficiaires, d’autres font grise mine, voire traînent l’image de « canards boiteux ».
La récente évacuation de la représentation diplomatique israélienne à Rabat, dans un contexte tendu par la guerre entre l’État hébreu et le Hamas, a été largement commentée. Elle n’est pourtant pas inédite : en 2000, les tensions nées de la deuxième Intifada avaient mené à la même décision.
Si le roi du Maroc ne s’est jamais départi de sa fibre progressiste, les autorités chargées de réformer la Moudawana restent assez conservatrices. À l’image de la majorité de la société marocaine.
Frappé, le 8 septembre, par un puissant tremblement de terre qui a fait 3 000 morts et des milliers de blessés, le royaume a déployé, dès les premières heures, d’importants moyens. Voici les piliers de la gestion de la crise.
Si de nombreuses voix au Maroc demandent une évolution du droit de la famille, la réforme attendue tarde à se dessiner. En appelant le gouvernement à s’emparer du sujet, le roi Mohammed VI a redonné espoir à ceux qui réclament, notamment, une plus grande égalité femmes-hommes.
Frappé par le tremblement de terre le plus puissant de son histoire récente, le royaume panse ses plaies, tout en préparant la reconstruction. Une opération d’envergure qui « prendra du temps et nécessitera des moyens colossaux ».
Le tremblement de terre qui a frappé le Maroc le 8 septembre a dévasté toute une région, mais il a aussi démontré la capacité du royaume à serrer les rangs face à cette terrible épreuve.