Convoquée le 19 février à la Cour nationale du droit d’asile pour une audience pour laquelle elle a demandé le huis clos, la Libyenne Zahra Mansour devra encore attendre pour savoir si la France lui accordera le statut de réfugiée.
Menacée de mort
La décision ne sera connue que le 11 mars. En France depuis 2013, l’ex-membre des Amazones, la garde personnelle de Mouammar Kadhafi, estime être menacée de mort par les autorités de son pays.
Mais l’Office français de protection des réfugiés et apatrides avait rejeté sa demande en première instance, le 5 mai 2018, estimant qu’elle a été une personnalité de premier plan du régime Kadhafi.