Malgré le refus que lui avait opposé en 2018 le président Béji Caïd Essebsi, la chancelière allemande, Angela Merkel, n’a pas renoncé à son projet d’établir une zone de rétention migratoire en Tunisie.

L’ex-président de la République tunisienne, feu Béji Caïd Essebsi, et la chancelière allemande Angela Merkel, lors du Sommet UE-UA, en novembre 2017 à Abidjan (image d’illustration). © Ministère tunisien des Affaires étrangères