C’est ce qu’affirment des membres du Congrès national rwandais (opposition) et du groupe de recherche Citizen Lab, de l’université de Toronto.
Interrogé lors d’une conférence de presse à Kigali, le président Paul Kagame a livré un alibi dont on ne sait s’il s’agit d’une boutade : « Le logiciel d’espionnage téléphonique est trop cher pour moi. »