En Algérie, bras de fer réglementaire entre Renault Algérie et le gouvernement

Le conflit entre l’exécutif et le producteur automobile français a tourné à l’ultimatum, depuis que Renault a donné un mois à la ministre de l’Industrie pour relever le plafond de pièces importées qui lui est imposé.

André Abboud, directeur de Renault Algérie, et Djamila Tamazirt, ministre de l’Industrie © JA

André Abboud, directeur de Renault Algérie, et Djamila Tamazirt, ministre de l’Industrie © JA

ProfilAuteur_ChristopheLeBec

Publié le 15 octobre 2019 Lecture : 2 minutes.

Les beaux jours de Renault semblent toucher à leur fin en Algérie. Jusqu’à présent, le constructeur s’y trouvait en position dominante – avec 53 % de part de marché au premier semestre de 2019 – grâce à son usine de Oued Tlelat, près d’Oran, entrée en exploitation en 2014.

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