[Tribune] Au Sahel, il faut que la peur change de camp
À l’issue de son sommet à Ouagadougou, samedi 14 septembre, la Cedeao a décidé de se doter d’un plan d’action à un milliard de dollars pour contrer les jihadistes. Depuis la fin de l’opération Serval au Mali, en 2014, les réunions internationales sur la situation sécuritaire au Sahel s’enchaînent à un rythme impressionnant sans que la tendance ne (re)devienne favorable aux États de la région et à leurs armées. Bien au contraire.
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Mis à jour le
16 septembre 2019 à 13:26
Par
Oswald Padonou
Docteur en sciences politiques. Enseignant et chercheur en relations internationales et études de sécurité