Finale de la Ligue des champions africaine : l’autre match entre Hamdi Meddeb et Saïd Naciri

Physiquement face à face sur la pelouse du stade de Radès, le 31 mai, après l’interruption de la finale retour de la Ligue des champions africaine de football, Hamdi Meddeb et Saïd Naciri, présidents respectivement de l’Espérance de Tunis et du Wydad Casablanca, poursuivent depuis leur match par médias et instances disciplinaires interposés.

Hamdi Meddeb et Saïd Naciri, présidents respectivement de l’Espérance de Tunis et du Wydad Casablanca. © Jeune Afrique

Hamdi Meddeb et Saïd Naciri, présidents respectivement de l’Espérance de Tunis et du Wydad Casablanca. © Jeune Afrique

nessim ben gharbia © DR

Publié le 12 août 2019 Lecture : 3 minutes.

« L’Afrique de Weah, de Drogba, d’Eto’o, de Mané et de tant d’autres champions mérite mieux que ça ! » Le 31 juillet, Aziz Zouhir apprend avec amertume que le Tribunal arbitral du sport (TAS) a estimé que le comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF) n’avait pas le pouvoir de faire rejouer la finale controversée de la Ligue des champions africaine.

Ancien président de l’Espérance sportive de Tunis (EST), membre du comité des sages de ce club centenaire, le Tunisien espérait voir confirmer le sacre de l’EST – déjà détentrice de quatre titres continentaux – face au Wydad Athletic Club (WAC) Casablanca. Or l’instance arbitrale s’est contentée de botter en touche, considérant que le comité en question « n’était pas compétent » sur le sujet, et a renvoyé la balle à la CAF. « Ce communiqué rajoute de la confusion », résume Aziz Zouhir.

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