Le renouvellement de la concession accordée à la filiale ferroviaire ivoiro-burkinabè a été signé par les deux États en 2016, mais n’a été approuvé finalement qu’en décembre 2018 par les députés burkinabè, retardant le programme de modernisation du transporteur.
Ce dernier prévoit 130 millions d’euros d’investissement pour la modernisation des voies et 90 millions d’euros dans le matériel durant une première phase de quatre ans. Sauf qu’entre la signature de la concession et sa ratification « les données économiques ont changé », estime le groupe français, qui indique « travailler avec les États pour retrouver l’équilibre financier » du projet.