Tensions dans le Golfe : l’exercice d’équilibrisme du Maroc, de l’Algérie et de la Tunisie

Face à la montée des tensions dans le Golfe, les orientations des pays du Maghreb peuvent être difficiles à décrypter. Volontaire ? À l’acmé des tensions entre Doha et Ryad en 2018, Jeune Afrique relevait déjà un « ni-ni des pays maghrébins ».

Mohamed Ben Salman avec le président tunisien, Béji Caïd Essebsi, le 27 novembre 2018, à Tunis. © Bandar Algaloud/Saudi Kingdom Council/Anadolu Agency/AFP

Mohamed Ben Salman avec le président tunisien, Béji Caïd Essebsi, le 27 novembre 2018, à Tunis. © Bandar Algaloud/Saudi Kingdom Council/Anadolu Agency/AFP

CRETOIS Jules

Publié le 28 mai 2019 Lecture : 1 minute.

Le porte-avion Abraham Lincoln en 2012. Il navigue actuellement dans les eaux du Golfe. © Carlos M. Vazquez II/U.S. Navy
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Golfe : demain, la guerre ?

Les États-Unis, l’Arabie saoudite, Israël et les Émirats d’un côté. L’Iran et ses alliés de l’autre. C’est le conflit auquel tout le monde se prépare mais dont personne ne veut, tant ses conséquences seraient dramatiques.

Sommaire

Le Maroc, qui a rompu ses relations diplomatiques avec l’Iran, accusé de soutenir le Front Polisario, semble le plus proche de la position saoudo-­émirienne, en dépit de la période de froid avec les Ben Salman, symbolisée par son vote contre la candidature marocaine à l’organisation de la Coupe du monde 2026.

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