S’il n’a pas participé au meurtre, Zoller-Guervos, qui résidait au Maroc depuis trois ans, appartenait, selon les enquêteurs du Bureau central d’investigation judiciaire (Bcij), au même réseau jihadiste que le chef du commando meurtrier, Abdessamad Ejjoud, un ancien détenu salafiste pro-Daech interpellé avec ses deux complices alors qu’ils s’apprêtaient à fuir vers l’Algérie.
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Ils étaient alors en possession de la vidéo de l’exécution de l’une des deux victimes, des couteaux ayant servi à la décapitation, ainsi que de tutoriels expliquant comment fabriquer divers types de poisons.