• Cameroun : le non à Paul Biya

Paul Biya en compagnie de son épouse Chantal, saluent la population après avoir effectué le vote lors de l’élection présidentielle dans le bureau de vote de l'école publique du quartier de Bastos, à Yaoundé, au Cameroun, le 9 octobre 2011. © JA
Bien que déjà sous contrat avec plusieurs communicants, dont la Française Patricia Balme, Paul Biya veut élargir le cercle de ses conseillers en vue de la présidentielle du 7 octobre.
L’Ivoirien Fabrice Sawegnon, patron de l’agence Voodoo, a décliné la proposition en raison du « faible enjeu » de cette élection.
• Côte d’Ivoire : Henriette Konan Bédié sans subventions

Henri et Henriette Konan Bédié lors de la campagne pour la présidentielle, le 27 octobre 2010, à Abidjan. © Rebecca Blackwell/AP/SIPA
Henriette Konan Bédié subit les conséquences des relations difficiles qu’entretient son époux, Henri Konan Bédié, avec Alassane Ouattara.
L’ex-première dame ne reçoit plus la subvention que lui versait mensuellement la présidence. Et elle doit désormais régler ses billets d’avion à chacun de ses déplacements à l’étranger.
• Mauritanie : Aziz à Pyongyang

Le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz à Nouakchott, le 2 juillet 2018. © Ludovic Marin/AP/SIPA
Seul chef d’État étranger à avoir assisté, le 9 septembre, au défilé militaire marquant le 70e anniversaire de la Corée du Nord, Mohamed Ould Abdelaziz s’est aussi rendu dans ce pays pour des motifs économiques.
Pyongyang achète du poisson à la Mauritanie et lui fournit une aide précieuse dans les domaines de la pêche et de la sécurité des côtes.