L’ex-capitaine de l’armée de l’air ivoirienne est en effet décédé il y a deux ans, à Abidjan. Il était soupçonné d’être l’un des pilotes des Sukhoï qui bombardèrent Bouaké en 2004, tuant neuf soldats français et un civil américain.
Quatorze ans après les faits, le procès de ce qui prend l’allure d’une affaire d’État pourrait s’ouvrir prochainement en France.

Un des Sukhoi-25 détruits par les Français en représailles au bombardement de Bouaké. © PASCAL GUYOT/AFP