Entre Azali Assoumani, le président, et Ahmed Saïd Djaffar, son vice-président, les hostilités sont ouvertes depuis que, le 17 juin, ce dernier s’est dit opposé à la tenue du référendum constitutionnel prévu le 29 juillet.
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Après lui avoir retiré le ministère de l’Économie pour lui confier la coquille vide de la Cohésion sociale, Assoumani lui a coupé le téléphone et repris son véhicule de fonction. En attendant de s’en débarrasser définitivement une fois le référendum approuvé, puisque la nouvelle Constitution ne prévoit plus de postes de vice-président.