Présidentielle au Cameroun : Akere Muna sur tous les fronts

Candidat de la « Plateforme pour une Nouvelle République » pour la présidentielle d’octobre 2018, l’avocat était en Allemagne fin mars, à l’invitation de la direction de Transparency International.

Akere Muna, avocat camerounais et candidat à la présidentielle de 2018 © Nicolas Eyidi/Jeune Afrique

Akere Muna, avocat camerounais et candidat à la présidentielle de 2018 © Nicolas Eyidi/Jeune Afrique

Publié le 6 avril 2018 Lecture : 1 minute.

Candidat à la présidentielle d’octobre, Akere Muna poursuit sa campagne sur le thème de la lutte contre la corruption. En visite en Allemagne à l’invitation de la diaspora, il a rencontré, le 22 mars, l’Argentine Delia Ferreira Rubio, directrice de Transparency International, dont il a fondé la branche camerounaise (il est par ailleurs proche de l’Allemand Peter Eigen, le fondateur de cette ONG).

Muna s’est également entretenu avec le Suisse Mark Pieth, un professeur de droit pénal spécialisé dans la traque des biens mal acquis.

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Il est ensuite rentré à Yaoundé où, le 26 mars, le tribunal de grande instance devait examiner un litige familial : sa sœur, l’ancienne ministre Ama Tutu Muna, l’accuse, ainsi que son autre frère, Bernard Muna, d’avoir détourné l’héritage de leur père, l’ancien Premier ministre Salomon Tandeng Muna. Le procès a été renvoyé au 23 avril.

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