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Les enjeux du 30e sommet de l’UA : corruption, financement, gouvernance
Après avoir assisté, à Davos, au Forum économique mondial, l’opposant congolais Moïse Katumbi est arrivé le 26 janvier à Addis-Abeba, où se déroulait le sommet de l’UA. Il a été rejoint par son allié, Félix Tshisekedi, qui venait de Kinshasa.
Même s’il n’a pas pu loger dans les hôtels réservés aux délégations de chefs d’État, ni accéder au siège de la Commission de l’UA (il n’y est pas habilité), il en a profité pour mener de discrètes consultations.
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Il s’est ainsi entretenu avec le Français Jean-Pierre Lacroix, chef des opérations de maintien de la paix de l’ONU. Parmi ses objectifs : obtenir que la mission de l’ONU en RDC (Monusco) offre sa protection aux candidats (dont lui) à la prochaine présidentielle.
Il a également croisé fortuitement Rémi Maréchaux, le directeur Afrique du Quai d’Orsay, avant de regagner Bruxelles le 30 janvier.