La présidence ivoirienne affirme désormais à ses interlocuteurs qu’elle s’élèvera à 22 millions d’euros. Alors qu’il est d’usage que le pays hôte d’un sommet assume plus de la moitié des dépenses d’organisation, Alassane Ouattara ne souhaite contribuer qu’à hauteur de 8 millions.
À l’UE, qui a déjà promis 3,2 millions d’euros, il a demandé 2,8 millions supplémentaires. La France a été mise à contribution à hauteur de 4,5 millions en matériel de sécurité (gilets pare-balles, drones, véhicules), qui restera à Abidjan après le sommet.