Ce jour-là, le milliardaire copte égyptien faisait un aller-retour à Paris pour assister – à l’invitation de Jack Lang – à l’inauguration de l’exposition « Chrétiens d’Orient, deux mille ans d’histoire », dont il est le principal mécène, à l’Institut du monde arabe.
Il y a rencontré Emmanuel Macron, venu prononcer un discours. « Je ne le connaissais pas, mais lui avait l’air de me connaître, confie Sawiris en toute modestie. Après toutes ces années avec de vieux présidents, il apporte un vent de fraîcheur. »