Elle n’a jamais pu faire le deuil de son enfant, mort pendant la guerre d’Algérie. Alors, au début des années 1980, l’Alsacienne Maguit se rend dans les Aurès, où elle retrouve le douar où, lui a-t-on dit, son fils a été tué d’un coup de fusil.
Elle y fait la connaissance d’une jeune institutrice, Aïcha, 9 ans à l’époque des faits. Et au cours des conversations entre les deux femmes, tout s’éclaire peu à peu… Une intrigue complexe, parfois peu crédible, pour un film mélodramatique qui ravive de façon habile la mémoire de la guerre d’indépendance.