Dans ce dossier
La Tunisie sur le qui-vive
En 2011, ce professeur d’urbanisme et d’aménagement du territoire a lâché une carrière entre Paris et Beyrouth pour revenir en Tunisie et se consacrer à la transition démocratique, par « devoir de “redevabilité” envers un pays qu’[il] aime », en fondant l’Atide.
Partant du principe que le droit de vote est l’un des droits fondamentaux de l’homme, il s’attache – avec des compagnons, tous bénévoles – « à protéger les urnes » et à imposer l’Atide comme force de proposition et contre-pouvoir.