Mi-janvier, en marge de la conférence de Paris sur le conflit israélo-palestinien, Jean-Marc Ayrault, le ministre français des Affaires étrangères, avait préalablement consulté son homologue algérien, Ramtane Lamamra, qui avait donné son accord de principe.
Une deuxième nomination à un poste identique est très inhabituelle. L’un des rares précédents avait justement eu lieu dans la même ambassade : envoyé en Algérie en 2000, Hubert Colin de Verdière avait été rappelé en 2002 au secrétariat général du Quai d’Orsay avant la fin des trois années habituelles, puis nommé à nouveau à Alger en 2004.