Avec l’appui de Claude Ayo-Iguendha, patron de la Bicig depuis près de quinze ans, celle-ci a jusqu’au 14 décembre pour proposer une autre option.
De bonne source, on estime que la plus probable à court terme reste un rachat par le Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS). Dans ce cas de figure, les équipes de BNP Paribas menées par les deux patrons Afrique Philippe Tartelin et Jean-Luc Oliver Akoto ont accepté de conserver 5 % à 10 % des parts et, surtout, de devenir un partenaire technique. Si l’option FGIS (à qui l’opération coûterait tout de même une quarantaine de millions d’euros) échoue, BNP devrait opter pour une reprise par BCP…