Celui qui n’est pas encore candidat à la présidentielle de 2017 (il annoncera sa décision fin 2016) a rencontré le ministre de l’Investissement, Fadhel Abdelkefi, et les membres du « quartet de la société civile », lauréats du prix Nobel de la paix 2015. Aux milieux d’affaires, il a manifesté son intérêt pour le plan de relance de la Tunisie.
À noter qu’il avait émis le souhait d’obtenir une audience à la présidence de la République mais que, embarrassé, Béji Caïd Essebsi a préféré décliner pour ménager la susceptibilité de son homologue, François Hollande.
Macron a été donc été diplomatiquement redirigé vers un autre Caïd Essebsi, son fils Hafedh, le directeur exécutif du parti présidentiel Nidaa Tounes, qui s’est empressé de le recevoir dans un lieu insolite, le salon d’honneur de l’aéroport Tunis-Carthage…