L’ONU a du coup décidé d’ouvrir une enquête : plusieurs inspecteurs se sont rendus début octobre à Kaga-Bandoro, dans le centre de la Centrafrique, où le bataillon pakistanais est soupçonné d’avoir pris fait et cause pour les rebelles de l’ex-Séléka.
Même chose dans l’est de la RD Congo, où depuis plusieurs mois des membres de la société civile congolaise les soupçonnent d’être proches des rebelles des Forces démocratiques alliées (ADF).