Considéré comme un témoin clé dans le procès à venir sur l’assassinat, le 15 octobre 1987, de Sankara et de douze de ses camarades, il avait entrepris de rédiger ses Mémoires et de recueillir des documents de l’époque.
Il les avait confiés à des proches, installés au Ghana et au Burkina, qui pourraient les publier prochainement.