Pas vraiment satisfait des éléments de réponse fournis par l’ancienne présidente de la transition, le greffier en chef de la Cour lui a envoyé, le 4 octobre, un courrier de relance lui donnant un délai de quinze jours pour se montrer plus loquace. Il pourrait également envisager d’appeler à s’expliquer la fille de CSP, Christelle Sappot, aujourd’hui ambassadrice à Malabo. Cette dernière fut sa secrétaire particulière.
Selon nos informations, Catherine Samba-Panza devrait une nouvelle fois répondre à la Cour des comptes, sans toutefois apporter plus de précisions.