Ce financement devrait permettre la poursuite de la distribution gratuite de pépinières et, surtout, la formation de saigneurs – les besoins sont estimés à 55 000 ouvriers –, qui représentent le cœur de métier de cette filière. Reste que, pour l’instant, l’appui apporté par l’AFD et la Banque mondiale ne permet pas au FDH de couvrir la totalité de cet investissement. Résultat, Albert Konan Koffi, le secrétaire général du FDH, mise sur des contributions additionnelles auprès d’autres bailleurs de fonds.

La filière doit faire face à la chute du coût du caoutchouc. © Sergey Yeliseev/ Flickr creative commons
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