L’origine de cette petite fortune ? Ses revenus comme expert à la Banque mondiale dans les années 1980 et 1990, ainsi que divers placements financiers et immobiliers.
Selon la justice algérienne, qui, en août 2013, avait lancé contre lui un mandat d’arrêt international – retiré depuis – dans le cadre du scandale Sonatrach 2, l’ancien ministre possède non pas un, mais cinq comptes en Suisse. Il avait d’ailleurs eu recours à un cabinet d’avocats helvétique pour s’opposer à la communication de ses données bancaires à l’Algérie dans le cadre d’une commission rogatoire internationale. À en croire Khelil, ses comptes à Genève sont désormais fermés. L’argent a de nouveau été transféré vers les États-Unis, où une Green Card lui a été octroyée.