
Rachid Bouchareb au festival du film de Berlin, le 7 février 2014. © Axel Schmidt / AP / SIPA
Les 50 personnalités les plus influentes ont toutes, sans exception et chacune à son niveau, un rôle à jouer pour conduire l’Algérie sur la première voie.
Il est le deuxième cinéaste algérien à obtenir une distinction au Festival de Cannes. En 1975, Mohamed Lakhdar-Hamina avait décroché la Palme d’or avec son poignant Chronique des années de braise. Trente et un ans plus tard, Rachid Bouchareb marchait sur ses traces avec Indigènes, un film dans lequel il rendait hommage aux tirailleurs algériens et marocains enrôlés dans les troupes françaises durant la Seconde Guerre mondiale, et qui fut récompensé par le prix d’interprétation masculine. Fait chevalier de la Légion d’honneur en 2007, ce réalisateur et producteur de 62 ans revient dans l’actualité avec un nouveau film, La Route d’Istanbul (présenté en février à la Berlinale), consacré au combat d’une mère qui veut récupérer sa fille partie faire la guerre en Syrie.
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