Seize signatures de parlementaires sur les trente requises pour la prise en compte de la demande ont été recueillies. Le cap devrait être rapidement franchi grâce notamment au lobbying de l’avocat William Bourdon. Jean-Yves Leconte (PS) s’apprête quant à lui à déposer auprès de la Commission des lois du Sénat une proposition de création d’un bureau d’accompagnement des Français arbitrairement détenus à l’étranger. Enfin, Atangana est convoqué le 1er mars par la juge Sabine Kheris en qualité de partie civile dans le cadre de sa plainte pour séquestration arbitraire.

Thierry Michel Atangana, le 21 octobre, au siège de Jeune Afrique. © Paul Mesnager pour Jeune Afrique