
Mohamed Bazoum face à ses partisans, le 23 février, après l'annonce de sa victoire à la présidentielle. © REUTERS/Tagaza Djibo
Le Niger a choisi le successeur de Mahamadou Issoufou : Mohamed Bazoum a battu Mahamane Ousmane, selon les résultats provisoires. Le nouveau président a désormais face à lui de nombreux défis, de l’éducation à la sécurité, en passant par la lutte contre la corruption.
Mahamadou Issoufou a tenu parole. Au pouvoir depuis 2011, réélu en 2016, il a en effet respecté sa promesse de ne pas transgresser la Constitution, qui limite à deux le nombre de mandats présidentiels.
Aux lendemains du second tour, l’actuel chef de l’État laissera donc la place à Mohamed Bazoum, candidat du Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme (PNDS, au pouvoir) arrivé en tête du premier tour avec 39,33% des suffrages, et qui a remporté le second avec avec 55,75% des voix, selon les résultats provisoires de la Ceni, face à l’opposant Mahamane Ousmane.*
Dans l’entre-deux-tours, le jeu des alliances avait battu son plein avec un avantage à l’ancien ministre
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