L’ancien chef de l’État ivoirien, candidat hypothétique à la présidentielle de 2025, pourra-t-il réellement influer sur le scrutin s’il se présente ? L’analyse de Florence Richard.
La date des funérailles de l’ancien président ivoirien Henri Konan Bédié, très attendues, a finalement été dévoilée le 11 mars, à l’issue d’un premier entretien entre Alassane Ouattara et Tidjane Thiam en tant que nouveau patron du PDCI.
Les funérailles d’Henri Konan Bédié auront lieu du 20 mai au 2 juin et se dérouleront en plusieurs étapes entre Abidjan et son village natal de Pépressou, dans le centre de la Côte d’Ivoire.
D’anciens cadres ralliés au RHDP, des personnes décédées… La nouvelle équipe de la première formation d’opposition, présentée mardi 5 mars par son nouveau président, comporte plusieurs anomalies. Une erreur d’actualisation, explique le parti.
Le nouveau président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) a procédé à une série de nominations. Sylvestre Emmou, qui fut son directeur de campagne, devient secrétaire exécutif en chef de la formation d’opposition.
Alors que le PDCI prépare les obsèques d’Henri Konan Bédié, Tidjane Thiam, le nouveau patron du parti, a annoncé la levée des sanctions qui pesaient sur les candidats indépendants aux dernières élections locales.
L’ancien Premier ministre de Côte d’Ivoire rejoint l’Université américaine Harvard, dans le Massachusetts, en tant qu’enseignant-chercheur invité, pendant un semestre.
Officiellement intronisé président du parti, le successeur d’Henri Konan Bédié va devoir s’atteler à réorganiser sa formation politique, où fourmillent les ambitieux et cohabitent difficilement les générations.
L’ex-banquier, absent de Côte d’Ivoire pendant plus de vingt ans, a réussi à prendre facilement la tête du premier parti d’opposition à Alassane Ouattara en décembre. Le voici désormais dans la peau d’un sérieux candidat à la présidentielle de 2025.
Le nouveau président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) a démissionné de son mandat d’administrateur de Kering, a annoncé mardi 9 janvier le groupe de luxe français.
La question de la candidature du chef de l’État, 82 ans, à la présidentielle de 2025 est déjà sur toutes les lèvres. À Abidjan, le grand jeu des pronostics politiques est ouvert.
DJ-Arafat, Laurent-Gbagbo, Didier-Drogba… Toutes les voies de la capitale économique vont désormais être clairement identifiées, dans le cadre d’un projet d’adressage engagé en 2017. Reste à s’approprier ces nouveaux noms, dont la plupart sont « ivoirisés », et à les intégrer dans les applications de navigation GPS.
Financement du parti, remobilisation des cadres et des militants, programme pour la présidentielle de 2025, organisation des obsèques de Bédié… Pour le nouveau patron du premier parti d’opposition, les défis sont nombreux.
L’ex-banquier franco-ivoirien a franchi le pas et s’est officiellement lancé en politique. Le 22 décembre, il a été élu président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), fondé par son grand-oncle Félix Houphouët-Boigny. Jusqu’où ira-t-il ?
L’ex-banquier succède à Henri Konan Bédié à la tête du Parti démocratique de Côte d’Ivoire. Il a été élu lors d’un congrès extraordinaire, le 22 décembre, à Yamoussoukro.
En Côte d’Ivoire, la succession d’Henri Konan Bédié suscite de nombreux désaccords au sein du premier parti d’opposition. Kouamé Kouassi Patrice a tenté une médiation, mais celle-ci ne s’est pas déroulée comme prévu. Coulisses.
Le banquier ivoiro-français Tidjane Thiam et le maire de la commune abidjanaise de Cocody, Jean-Marc Yacé, s’affronteront pour prendre la présidence du parti.
Avec la suspension par la justice du congrès qui devait élire son nouveau président le 16 décembre, le parti d’Henri Konan Bédié bascule dans une période incertaine.
Deux militants du Parti démocratique de Côte d’Ivoire demandaient la suspension du congrès devant désigner son nouveau président, prévu ce 16 décembre à Abidjan.
Ce samedi, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire tient à Abidjan son huitième congrès extraordinaire qui devrait propulser vers la présidentielle le successeur de l’ancien chef d’État.
Le secrétaire exécutif du PDCI et le patron du FPI faisaient l’objet d’enquêtes pour « complot contre l’autorité de l’État », « mouvement insurrectionnel », « assassinat » et « actes de terrorisme » lors de la présidentielle de 2020.
Plusieurs candidats se sont retirés de la course à la présidence du parti démocratique de Côte d’Ivoire, avec en toile de fond la présidentielle de 2025.
Après les locales du 2 septembre, l’ancien parti unique est en net recul à travers la Côte d’Ivoire par rapport aux scrutins de 2018. Mais ses maires abidjanais, eux, ont réussi à conserver leurs sièges malgré l’hégémonie du RHDP.
Après leur annulation, le 2 septembre, pour cause d’irrégularités, quelques élections municipales – et une régionale – ont été rejouées, ce 2 décembre. Parmi elles, celle du fief de Guillaume Soro, où l’un des proches de l’ex-président de l’Assemblée nationale, le maire sortant Kaweli Ouattara, revendique la victoire.
L’ex-bras droit de l’ancien chef de l’État est l’un des cinq candidats à sa succession à la présidence du PDCI. Avec une promesse : s’il est élu, il se consacrera uniquement au parti et ne se présentera pas à la présidentielle de 2025.
L’ex-banquier franco-ivoirien au parcours prestigieux, qui vit à l’étranger depuis une vingtaine d’années, brigue la présidence du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) avec, dans son viseur, la présidentielle de 2025.
L’ancien maire du Plateau brigue la succession d’Henri Konan Bédié à la tête du plus vieux parti du pays. En misant sur une image de réformateur capable de rassembler tous ses courants.
Réélu maire de la commune abidjanaise de Koumassi, le secrétaire exécutif du RHDP dresse un bilan positif des élections locales organisées en septembre. Du 17 au 19 novembre, les dirigeants du parti au pouvoir se réunissent à Abidjan pour en tirer les leçons et faire des recommandations en vue de la présidentielle de 2025.
Noël Akossi Bendjo, Maurice Kakou Guikahué, Tidjane Thiam, Jean-Marc Yacé… Plusieurs candidats brigueront la présidence du Parti démocratique de Côte d’Ivoire lors du congrès électif qui se tiendra le 16 décembre à Abidjan.