Groupe Bolloré est un groupe industriel français, détenu par Vincent Bolloré. L’entreprise familiale de transport et de logistique fondée en 1822 développe aujourd’hui ses activités dans divers domaines, tels que l’énergie, la communication et les médias, l’industrie ou encore l’agriculture.
Un collectif de paysans camerounais vient de remporter une bataille dans le conflit qui l’oppose à la Socapalm et au groupe Bolloré. Mais la guerre n’est pas pour autant terminée.
Après le rachat des activités de Bolloré Africa Logistics Togo par l’armateur italo-suisse Mediterranean Shipping Company (MSC), le même PDG dirige la nouvelle entité, Africa Global Logistics. Il décrypte pour JA les enjeux de cette nouvelle donne.
Si le groupe Bolloré tourne définitivement la page du transport et de la logistique, après la vente de Bolloré Transport & Logistics (BTL) à CMA CGM, ce dernier prend une tout autre dimension, en Afrique… et ailleurs.
L’acquisition de Bolloré Africa Logistics par MSC pour 5,7 milliards d’euros constitue, tous secteurs confondus, la transaction de 2022 qui a le plus marqué notre classement des 500 Champions africains.
L’État togolais et l’opérateur portuaire ont mis fin à un conflit qui les opposait depuis 2018. Ce, à l’heure où Bolloré Africa Logistics passe sous le pavillon de MSC. Jeune Afrique revient sur les circonstances de cet accord.
Avant son départ, le groupe a livré de nouvelles installations portuaires et aéroportuaires dans la capitale économique ivoirienne, appelée à devenir la plateforme multimodale de la sous-région.
Lors d’un entretien avec le chef de l’État ivoirien et le ministre de la Communication et de l’Économie numérique, Amadou Coulibaly, le président de Canal+ International, Jacques Dupuy, a fait part des intentions de son groupe en matière d’investissements, notamment dans le domaine de la production.
L’armateur italo-suisse a finalisé l’acquisition de la filiale de transports et de logistique du groupe français pour 5,7 milliards d’euros. Ce dernier restera en Afrique, notamment via Canal+ et ses activités médias.
La modernisation des infrastructures s’accélère et tire la croissance béninoise. Porte d’entrée naturelle vers le Niger, le pays espère aussi renforcer sa part de marché au Burkina Faso, où son concurrent Lomé domine.
Inspiré par A+ Ivoire, le chef de l’État béninois souhaite créer une nouvelle chaîne avec le groupe Vivendi, qui a fait du développement de contenus locaux l’un des piliers de sa stratégie. Explications.
La cession des activités portuaires marque la prise de pouvoir du fils de Vincent Bolloré, qui centre ses efforts sur le divertissement et la communication tout en s’ouvrant à l’agriculture. Tour d’horizon de la stratégie et des ambitions d’un groupe toujours très présent sur le continent.
Le groupe français a lancé en 2019 un label pour réduire l’impact sur l’environnement de ses terminaux portuaires et activités logistiques. Premier bilan de cette démarche, traduisant une tendance de fond dans le secteur, en Afrique de l’Ouest.
Tech, agro-industrie, pétrole et gaz, transport maritime… Jeune Afrique revient sur les transactions phares de ces douze derniers mois, preuve du dynamisme du secteur privé sur le continent.
Évoqué dès 2020, le possible retrait de Bolloré de ses activités portuaires sur le continent témoigne de la profonde reconfiguration sectorielle en cours, dans un contexte de reprise du trafic post-pandémie.
Malgré ses nombreux avantages, le fret ferroviaire peine à se développer. En cause, de lourds investissements, mais aussi une maintenance souvent défaillante du côté des exploitants. Le français Bolloré Railways, qui gère les réseaux Sitarail et Camrail n’entend pas pour autant renoncer.
Selon un rapport confidentiel, les termes de la concession remportée par le groupe français sont biaisés en défaveur d’Accra. Bolloré dément fermement indiquant « avoir mis en œuvre un partenariat public-privé équilibré qui a permis à l’État ghanéen de se doter d’une infrastructure performante sans aucun recours à l’endettement public ».
Attributions contestées, ruptures de contrat, relations houleuses… Les différends se multiplient autour des ports, entraînant parfois un gel des investissements et des performances dégradées. Sortir de cette logique est urgent.
Douala International Terminal (DIT), la filiale des deux logisticiens qui gérait le terminal à conteneurs de Douala, vient d’obtenir gain de cause auprès du tribunal arbitral de Paris.
Malgré la crise du Covid-19, l’ancien rugbyman camerounais, DG de Vivendi Sports, filiale du groupe de Vincent Bolloré, croit encore à un vrai écosystème africain du sport.
De Tanger Med à Djibouti, de grands progrès ont été accomplis dans l’efficacité des ports africains, relève Amaury de Féligonde (Okan Partners). Mais de la desserte de l’hinterland à la simplification des procédures, beaucoup reste encore à faire.
Quatre ans après la catastrophe d’Eseka, Camrail (groupe Bolloré) entend renouer avec un service premium de transport de passagers, avec son nouveau train express.
Alors que les groupes Bolloré et Maersk ont été écartés en décembre de la gestion du terminal à conteneurs du port de Douala, celui-ci a enregistré en janvier une baisse drastique d’activité.
Au Cameroun, le juge administratif de Douala donne raison au consortium qui estimait avoir été injustement écarté de la présélection, en annulant la décision du patron du Port autonome de Douala du 8 janvier.
Le directeur de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture belgo-luxembourgeoise (CBL) explique à Jeune Afrique la stratégie des entreprises belges sur le continent africain.
Après une rencontre avec le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, le président Paul Biya a suspendu le processus visant à accorder la concession du terminal à conteneurs du port de Douala à la société TIL.
Bolloré Transport & Logistics (BTL) discute avec la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso d’un nouvel équilibre financier pour la modernisation de sa filiale.