D’un côté, une incroyable diversité. De l’autre, un malaise évident sur fond de repli communautaire et de rivalités régionalistes qu’exacerbe l’approche de la présidentielle.
Écrivain, professeur de littérature à la Stony Brook University, à New York, le Camerounais Patrice Nganang évique pour Jeune Afrique la source de l’union camerounaise, dont il situe le cœur battant dans la ville de Foumban, dans l’Ouest.
Être camerounais, c’est assumer une histoire singulière, faite de blessures, de remords, de défaites, de cicatrices, mais aussi de fierté, de grandeur, de victoires et d’héroïsme.