Le leader du Pastef et son bras droit, candidat à la présidentielle du 24 mars, se sont exprimés pour la première fois depuis leur sortie de prison. Ils entament dès samedi 16 mars leur tournée à travers le Sénégal.
La Cour a jugé irrecevables les requêtes du Parti démocratique sénégalais (PDS) et de ses alliés, qui tentaient de suspendre les décrets présidentiels fixant la date de l’élection.
Plusieurs ex-membres du Parti démocratique sénégalais (PDS) ont annoncé mercredi la création d’un « cadre de concertation », mais celui-ci a été snobé par leur formation d’origine. Ils appellent leurs compagnons à s’unir au second tour de l’élection.
Le parti de Macky Sall a renouvelé officiellement sa confiance à son candidat. Mais depuis le début de la campagne, l’ancien Premier ministre apparaît fragilisé au sein même de BBY. Coulisses.
Jamais un absent n’aura été aussi présent. Écarté du scrutin du 24 mars, l’opposant, qui a joué un rôle crucial dans son report, tente désormais d’en empêcher la tenue.
Le texte polémique a été adopté mercredi 6 mars en fin de journée, à 94 voix pour, 49 contre et 3 abstentions. La loi pourrait permettre à Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye de sortir de prison.
Présenté comme une mesure d’apaisement, ce projet de loi divise au sein de la majorité et de l’opposition. Il est, en outre, rejeté par les ex-détenus politiques comme par les familles des victimes tuées en marge des manifestations.
Le dialogue national initié par Macky Sall, censé dégager un consensus sur le processus électoral, s’est achevé le mardi 27 février. Ses participants proposent que la présidentielle ait lieu début juin, et que le président sortant reste au pouvoir jusqu’à sa tenue.
Le chef de l’État sénégalais a appelé à l’ouverture, le 26 février, de « concertations nationales » pour déterminer la date et les modalités de l’élection présidentielle. Problème : la quasi-totalité des candidats refusent d’y participer.
Le chef de l’État a déclaré qu’il ne comptait pas poursuivre son mandat après son terme. Il a convoqué un dialogue national lundi 26 février pour fixer la date de l’élection présidentielle.
La communauté internationale exhorte le chef de l’État à fixer rapidement une nouvelle date pour le scrutin présidentiel, qui devait se tenir le 25 février. Ce qui ne manque pas d’agacer Dakar.
Le Conseil constitutionnel a annulé, jeudi, le report de l’élection présidentielle décidée par le chef de l’État. Projecteur sur les sept femmes et hommes qui le composent.
Le Conseil constitutionnel a annulé le 15 février le report du scrutin et invité les « autorités compétentes » à l’organiser « dans les meilleurs délais ». Une expression qui laisse libre cours à diverses interprétations.
Écarté de la présidentielle au Sénégal, l’opposant a réussi, depuis Doha, à bouleverser l’ensemble du processus électoral dans son pays. Avec le concours, à Dakar et ailleurs, de plusieurs responsables acquis à sa cause.
Un rassemblement organisé vendredi 9 février à Dakar a été immédiatement dispersé par les forces de l’ordre. Plusieurs recours ont été déposés par l’opposition pour protester contre l’annulation du scrutin initialement prévu le 25 février.
Plusieurs cadres du pouvoir sénégalais ont rompu avec leur camp après l’annonce, par le chef de l’État, du report du scrutin. Certains de ses proches avaient pourtant tenté de le dissuader.
Le scrutin a finalement été repoussé au 15 décembre 2024 par l’Assemblée nationale. Jeune Afrique revient sur les causes et les conséquences de cette décision qui précipite le pays dans une crise inédite.
L’Assemblée nationale a adopté dans la soirée du 5 février une proposition de loi visant à reporter le scrutin initialement prévu le 25 février prochain. Le vote s’est déroulé en l’absence de l’opposition, escortée en dehors de l’hémicycle par les gendarmes.
L’opposant sénégalais a déposé le 16 janvier la réclamation contre Karim Wade à l’origine de son invalidation. Désormais mobilisé contre le report de l’élection annoncé par le chef de l’État, il décrit un pays « au bord de la rupture ».
Samedi 3 février, le chef de l’État annonçait le report de l’élection prévue le 25 février. Coulisses d’une décision qui pourrait le mener à étendre son mandat pour une durée indéterminée.
Le président de la République a annoncé ce samedi l’abrogation du décret qui fixe l’élection au 25 février prochain, lors d’une allocution adressée à la nation. Il a également convoqué un dialogue national.
Au Sénégal, le candidat officiellement désigné par Ousmane Sonko pour le remplacer à l’élection présidentielle débutera sa campagne ce 4 février. En principe, depuis sa cellule du Cap Manuel.
La résolution proposée par Karim Wade a été adoptée ce mercredi par les députés à 120 voix contre 24. Elle ouvre la voie à une enquête sur des accusations de « corruption » contre deux juges du Conseil constitutionnel – laquelle vise aussi Amadou Ba, Premier ministre et candidat de la majorité à la présidentielle.
Les soutiens de Karim Wade, candidat écarté de la présidentielle du 25 février 2024, tentent de mettre des bâtons dans les roues d’Amadou Ba. Ils soupçonnent certains des sept sages du Conseil constitutionnel de « corruption ».
Les équipes du candidat recalé ont diffusé une vidéo enregistrée avant qu’il ne soit incarcéré au cas où il serait empêché de se présenter. Il y détaille sa stratégie, sans pour autant confirmer le choix de son plan B.
Le président Macky Sall a reçu le 24 janvier plusieurs candidats recalés. Il a aussi confirmé la date du scrutin, alors que la rumeur d’un potentiel report agitait la sphère politique depuis plusieurs jours.
Cinq membres de la marine nationale ont disparu en mer, le 5 janvier, lors de l’arraisonnement d’un navire soupçonné de transporter de la drogue. L’espoir de les retrouver est ténu.
L’illustre lutteur a remporté un nouveau combat le 1er janvier, conservant son titre et son statut de star de la discipline dans le pays. Portrait d’un homme qui, parti de rien, s’est imposé à la force des poings.