Depuis sa première visite au Rwanda et au Kenya, en 2017, Jack Ma travaille à la mise en place d’un écosystème numérique capable d’offrir, dans plusieurs années, un environnement propice au développement de son groupe Alibaba.
Désormais dégagé de toutes fonctions exécutives au sein du groupe de e-commerce qu’il a créé, il se consacre à ses fondations, Jack Ma et Alibaba. Il a annoncé vouloir allouer 100 millions de dollars sur dix ans en subventions et programmes de formation pour soutenir l’écosystème entrepreneurial africain.
Son implication personnelle est très appréciée et lui permet d’avoir ses entrées chez certains chefs d’État et de gouvernement, parmi lesquels le Rwandais Paul Kagame, l’Éthiopien Abiy Ahmed, le Kényan Uhuru Kenyatta et le Ghanéen Nana Akufo-Addo. Mais sur qui s’appuie-t-il pour accéder aux palais présidentiels ?