Dans la soirée du 14 juillet, Biram Dah Abeid s’est à nouveau entretenu avec le ministre de la Fonction publique, Seyedna Ali Ould Mohamed Khouna. Arrivé deuxième à la présidentielle du 22 juin, le militant antiesclavagiste a évoqué les conditions préalables, selon lui, à la tenue d’un dialogue officiel avec le pouvoir.
Un nouveau parti pour Biram ?
Les trois autres candidats de l’opposition ne se sont pas associés à cette initiative. Président de l’organisation IRA-Mauritanie, « Biram » envisage de créer un parti ou de restructurer Sawab, formation nationaliste arabe à laquelle il est allié, en changeant son nom et sa direction.