Critiqué pour son manque d’efficacité, le G5 Sahel doit encore trouver les moyens d’endiguer l’insécurité permanente qui sévit aux frontières communes des pays qui le composent, le Mali, le Burkina Faso, la Mauritanie, le Tchad et le Niger. Outre la mise en place effective des dispositifs sécuritaires communs, aux premiers rangs desquels la force conjointe dont la phase « d’opérationnalisation » complète est sans cesse repoussée, l’initiative sahélienne doit aussi tenir ses engagements de développement, qui figurent dans la première phase de son programme d’investissement prioritaire, plébiscité par les bailleurs.

Alpha Barry, ministre burkinabè des Affaires étrangères, en 2017 à Ouagadougou. © Sophie Garcia/jeune Afrique
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