« Les Tunisiens représentent une source disproportionnée de recrues pour les réseaux de jihadistes étrangers. Leur omniprésence est toutefois déroutante. Pourquoi sont-ils si nombreux ? » C’est à cette question que tente de répondre le chercheur Aaron Y. Zelin, du think tank américain « Washington Institute for Near East Policy », dans une étude parue en décembre 2018 sur les combattants tunisiens en Irak et en Syrie. Selon l’auteur, 2 900 Tunisiens – 6 000 selon d’autres sources – sont arrivés dans la zone irako-syrienne depuis le début du conflit, sur un total de 30 000 tentatives.

Des jihadistes de l’État islamique à Raqqa, en Syrie, en 2014. © AP/SIPA
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