L’instance vérité et dignité (IVD), établie par la loi tunisienne du 23 décembre 2013 et officiellement lancée le 9 juin 2014, a depuis été à l’origine de nombreuses polémiques dans le pays. C’est d’abord la personnalité de sa présidente, Sihem Bensedrine, qui a dérangé certains acteurs de la vie publique, car jugée trop proche des islamistes. La crise de légitimité de l’instance s’est ensuite envenimée lorsque le mandat de cette dernière a touché à sa fin en mai 2018. Son renouvellement n’a pas été validé par l’Assemblée, mais l’IVD continue tout de même à exercer.

Audience publique de l’Instance vérité et dignité à Tunis, le 14 janvier 2017. © Capture d’écran/Instance Vérité Dignité/YouTube
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