Parce que le Niger est l’un des pays les plus pauvres du monde, que la lutte contre la menace terroriste (Aqmi, Boko Haram) lui coûte très cher et nuit à ses investissements dans l’éducation et la santé, que le FMI se montre de plus en plus sourcilleux et réticent à débloquer des fonds, et que Mahamadou Issoufou est un allié et même un ami, François Hollande n’arrivera pas les mains vides à Niamey, le 18 juillet.
Le président français assistera à la signature de cinq conventions entre l’Agence française de développement (AFD) et l’État du Niger concernant les secteurs de la santé, de l’éducation, de l’électricité et de la sécurité alimentaire. Montant total : 75 millions d’euros.
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