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On ne dira pas (encore) que c’est celui du siècle. Mais tout de même. Pour la première fois s’est ouvert à Paris, le 19 juin, le procès dit des biens mal-acquis, avec un vice-président africain en accusé, Teodoro Nguema Obiang Mangue, plusieurs centaines de millions d’euros de préjudices estimés et une partie civile fermement décidée à épingler ce qu’elle considère comme les « ploutocrates » d’Afrique centrale.
Voici les connaissances indispensables à avoir pour comprendre les enjeux d’un événement scruté en France, aux États-Unis, mais aussi à Brazzaville, Libreville ou Bangui. Vous pouvez également retrouver toutes les actualités du procès via ce lien, ainsi que l’interview exclusive de Simon Mann, ancien mercenaire sud-africain appelé à la barre par le fils du président équato-guinéen, parue dans nos colonnes le 2 juillet.