Justice
Deux des 11 véhicules appartenant à Teodorín Obiang saisis par la justice suisse, dans la zone de fret de l’aéroport de Genève, jeudi 3 novembre 2016. © Laurent Gillieron/AP/SIPA

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Procès des biens mal acquis : un verdict historique

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Société

Procès des « biens mal acquis » : tout ce qu’il faut savoir, en une infographie

Le procès des «biens mal acquis» devrait livrer son verdict le 6 juillet prochain, sauf retournement de situation ou mise en délibéré. L’aboutissement de dix ans de procédures que Jeune Afrique se propose de vous résumer en une infographie.

Mis à jour le 4 juillet 2017 à 11:20

Teodorín Obiang, le 30 septembre 2015 au siège des Nations Unies (image d’illustration). © Frank Franklin II/AP/SIPA

On ne dira pas (encore) que c’est celui du siècle. Mais tout de même. Pour la première fois s’est ouvert à Paris, le 19 juin, le procès dit des biens mal-acquis, avec un vice-président africain en accusé, Teodoro Nguema Obiang Mangue, plusieurs centaines de millions d’euros de préjudices estimés et une partie civile fermement décidée à épingler ce qu’elle considère comme les « ploutocrates » d’Afrique centrale.

Voici les connaissances indispensables à avoir pour comprendre les enjeux d’un événement scruté en France, aux États-Unis, mais aussi à Brazzaville, Libreville ou Bangui. Vous pouvez également retrouver toutes les actualités du procès via ce lien, ainsi que l’interview exclusive de Simon Mann, ancien mercenaire sud-africain appelé à la barre par le fils du président équato-guinéen, parue dans nos colonnes le 2 juillet.